Luc 18.13 Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : Mon Dieu ! ayez pitié de moi qui suis un pécheur.
David Martin
Luc 18.13 Mais le péager se tenant loin, n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais frappait sa poitrine, en disant : ô Dieu ! sois apaisé envers moi qui suis pécheur !
Ostervald
Luc 18.13 Mais le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi qui suis pécheur !
Ancien Testament Samuel Cahen
Luc 18.13 Ce verset n’existe pas dans cette traduction !
Les Évangiles de Félicité Robert de Lamennais
Luc 18.13Et le publicain, se tenant loin, n’osoit pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappoit sa poitrine, disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur.
Perret-Gentil et Rilliet
Luc 18.13Mais le publicain se tenant à distance ne se permettait pas même de lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « O Dieu, aie compassion de moi qui suis pécheur ! »
Bible de Lausanne
Luc 18.13Et le péager, se tenant éloigné, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur !
Nouveau Testament Oltramare
Luc 18.13Et le publicain, se tenant à distance, ne se permettait pas même de lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: «Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.»
John Nelson Darby
Luc 18.13 Et le publicain, se tenant loin, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais se frappait la poitrine, disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur !
Nouveau Testament Stapfer
Luc 18.13Quant au publicain, il se tenait à distance, il n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « Dieu, aie pitié de moi qui suis un pécheur ! »
Bible Annotée
Luc 18.13 Mais le péager, se tenant à distance, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Dieu ! Sois apaisé envers moi, qui suis pécheur !
Ancien testament Zadoc Kahn
Luc 18.13 Ce versset n’existe pas dans cette traduction !
Glaire et Vigouroux
Luc 18.13Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur.
Bible Louis Claude Fillion
Luc 18.13Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au Ciel; mais il frappait sa poitrine, en disant: O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur.
Louis Segond 1910
Luc 18.13 Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.
Nouveau Testament et Psaumes Synodale
Luc 18.13Le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur !
Auguste Crampon
Luc 18.13 Le publicain, se tenant à distance, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine en disant : Ô Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur !
Bible Pirot-Clamer
Luc 18.13Quant au publicain, restant à distance, il n’osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : Aie pitié du pécheur que je suis.
Bible de Jérusalem
Luc 18.13Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : Mon Dieu, aie pitié du pécheur que je suis !
Nouveau Testament Osty et Trinquet
Luc 18.13Le publicain, se tenant au loin, ne voulait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : O Dieu, prends en pitié le pécheur que je suis !
Segond Nouvelle Édition de Genève
Luc 18.13 Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.
Bible André Chouraqui
Luc 18.13Le gabelou se tient à distance et ne veut même pas lever les yeux au ciel. Mais il se frappe la poitrine et dit : ‹ Elohîms, secours-moi, moi le fauteur ! ›
Les Évangiles de Sœur Jeanne d’Arc
Luc 18.13Le taxateur se tient à distance : il ne veut même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappe la poitrine et dit : "Ô Dieu, soit propice pour moi, le pécheur !"
Les Évangiles de Claude Tresmontant
Luc 18.13quant au percepteur des impôts il se tenait debout au loin et il ne voulait même pas lever les yeux vers les cieux mais il se frappait la poitrine et il disait dieu pardonne-moi moi [qui suis] l’homme en faute
Bible des Peuples
Luc 18.13“Le publicain, lui, se tenait à distance: il n’osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine et disait: Ô Dieu, aie pitié du pécheur que je suis!
Segond 21
Luc 18.13 Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : ‹ Ô Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur. ›
King James en Français
Luc 18.13 Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever ses yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine, disant: Dieu, sois miséricordieux envers moi qui suis pécheur.
La Septante
Luc 18.13 Ce verset n’existe pas dans cette traduction !
La Vulgate
Luc 18.13et publicanus a longe stans nolebat nec oculos ad caelum levare sed percutiebat pectus suum dicens Deus propitius esto mihi peccatori
Biblia Hebraica Stuttgartensia
Luc 18.13 Ce verset n’existe pas dans cette traduction !