Comparateur biblique pour Ruth 4.7

Ruth 4.7  Or c’était une ancienne coutume dans Israël entre les parents, que s’il arrivait que l’un cédât son droit à l’autre, afin que la cession fût valide, celui qui se démettait de son droit, ôtait son soulier et le donnait à son parent : c’était là le témoignage de la cession en Israël.

Ruth 4.7  Or c’était une ancienne coutume en Israël, qu’au cas de droit de retrait lignager et de subrogation, pour confirmer la chose l’homme déchaussait son soulier, et le donnait à son prochain, et c’était là un témoignage en Israël [qu’on cédait son droit].

Ruth 4.7  (Or, autrefois en Israël, en cas de rachat et de subrogation, pour confirmer la chose, l’homme ôtait son soulier et le donnait à son parent ; cela servait de témoignage en Israël. )

Ruth 4.7  Et c’est ainsi qu’il fut autrefois en Israel au sujet du rachat et de l’échange, pour confirmer toute chose, l’un retirait sa chaussure et la donnait à son prochain, et cela (servait de) témoignage en Israel.

Ruth 4.7  Ce verset n’existe pas dans cette traduction !

Ruth 4.7  Or voici ce qui se pratiquait jadis en Israël, lors d’un retrait ou d’une mutation, pour ratifier toute transaction : l’une des parties ôtait sa sandale et la donnait à l’autre : telle était la coutume en Israël.

Ruth 4.7  Et voici [ce qui se faisait] autrefois en Israël, en matière de rachat et en matière d’échange, pour confirmer toute affaire : l’un ôtait son soulier et le donnait à l’autre. C’était le témoignage [public] en Israël.

Ruth 4.7  Ce verset n’existe pas dans cette traduction !

Ruth 4.7  Or c’était jadis une coutume en Israël, en cas de rachat et d’échange, que, pour confirmer toute affaire, l’un ôtait sa sandale et la donnait à l’autre ; c’était là une coutume en Israël.

Ruth 4.7  Ce verset n’existe pas dans cette traduction !

Ruth 4.7  Et c’était autrefois la coutume en Israël, en cas de rachat et d’échange, pour valider toute affaire, que l’homme ôtait son soulier et le donnait à l’autre ; c’était le mode d’attestation en Israël.

Ruth 4.7  Or, jadis en Israël, quand il s’agissait de rachat ou d’échange, tel était le procédé pour rendra définitif un contrat : l’un des contractants retirait se sandale et la donnait à l’autre. Voilà quelle était la règle on Israël.

Ruth 4.7  Or c’était une ancienne coutume en Israël entre parents que s’il arrivait que l’un cédât son droit à l’autre, afin que la cession fût valide, celui qui se démettait de son droit ôtait son soulier et le donnait à son parent : c’était là le témoignage de la cession en Israël.

Ruth 4.7  Or c’était une ancienne coutume en Israël entre parents que s’il arrivait que l’un cédât son droit à l’autre, afin que la cession fût valide, celui qui se démettait de son droit ôtait son soulier et le donnait à son parent: c’était là le témoignage de la cession en Israël.

Ruth 4.7  Autrefois en Israël, pour valider une affaire quelconque relative à un rachat ou à un échange, l’un ôtait son soulier et le donnait à l’autre : cela servait de témoignage en Israël.

Ruth 4.7  Ce verset n’existe pas dans cette traduction !

Ruth 4.7  C’était autrefois la coutume en Israël, en cas de rachat et d’échange, pour valider toute affaire, que l’homme ôtât son soulier et le donnât à l’autre cela servait de témoignage en Israël.

Ruth 4.7  Or, voici la coutume autrefois en vigueur dans Israël : en cas de rachat et d’échange, pour ratifier toute affaire, on enlevait sa sandale et on la donnait à son partenaire : c’était la façon de témoigner en Israël. –

Ruth 4.7  Or c’était autrefois la coutume en Israël, en cas de rachat ou d’héritage, pour valider toute affaire : l’un ôtait sa sandale et la donnait à l’autre. Telle était en Israël la manière de témoigner.

Ruth 4.7  Ce verset n’existe pas dans cette traduction !

Ruth 4.7  Autrefois en Israël, pour valider une affaire quelconque relative à un rachat ou à un échange, l’un ôtait son soulier et le donnait à l’autre : cela servait de témoignage en Israël.

Ruth 4.7  Ceci était jadis en Israël, pour le rachat et l’échange: pour valider toute parole, l’homme retirait sa sandale et la donnait à son compagnon. Tel était le témoignage en Israël.

Ruth 4.7  Ce verset n’existe pas dans cette traduction !

Ruth 4.7  Ce verset n’existe pas dans cette traduction !

Ruth 4.7  Voici quelle était la coutume autrefois en Israël, en cas de rachat ou d’héritage. Pour que l’affaire soit réglée, on ôtait sa sandale et on la donnait à l’autre: c’était la façon de régler un contrat en Israël.

Ruth 4.7  Autrefois en Israël, pour valider toute affaire relative à un rachat ou à un échange, on retirait sa sandale et on la donnait à l’autre : c’était ce geste qui servait d’attestation en Israël.

Ruth 4.7  Or, autrefois en Israël, en cas de rachat et de subrogation, pour confirmer la chose, l’homme ôtait son soulier et le donnait à son parent; cela servait de témoignage en Israël.

Ruth 4.7  καὶ τοῦτο τὸ δικαίωμα ἔμπροσθεν ἐν τῷ Ισραηλ ἐπὶ τὴν ἀγχιστείαν καὶ ἐπὶ τὸ ἀντάλλαγμα τοῦ στῆσαι πᾶν λόγον καὶ ὑπελύετο ὁ ἀνὴρ τὸ ὑπόδημα αὐτοῦ καὶ ἐδίδου τῷ πλησίον αὐτοῦ τῷ ἀγχιστεύοντι τὴν ἀγχιστείαν αὐτοῦ καὶ τοῦτο ἦν μαρτύριον ἐν Ισραηλ.

Ruth 4.7  hic autem erat mos antiquitus in Israhel inter propinquos et si quando alter alteri suo iure cedebat ut esset firma concessio solvebat homo calciamentum suum et dabat proximo suo hoc erat testimonium cessionis in Israhel

Ruth 4.7  וְזֹאת֩ לְפָנִ֨ים בְּיִשְׂרָאֵ֜ל עַל־הַגְּאוּלָּ֤ה וְעַל־הַתְּמוּרָה֙ לְקַיֵּ֣ם כָּל־דָּבָ֔ר שָׁלַ֥ף אִ֛ישׁ נַעֲלֹ֖ו וְנָתַ֣ן לְרֵעֵ֑הוּ וְזֹ֥את הַתְּעוּדָ֖ה בְּיִשְׂרָאֵֽל׃