Voir Gethsémané, Paradis, etc.
Les passages de Ésaïe 1.29 ; 65.3 ; 66.17, qui parlent de sacrifices et de purifications faites au milieu des jardins, sont une allusion à l’usage idolâtre des Perses, qui accomplissaient leurs lustrations et autres cérémonies sacrées dans les jardins et hors des villes ; nous ne pouvons plus déchiffrer maintenant le détail de ces mystères nocturnes, auxquels étaient censés présider Adonis et Vénus ; les Juifs, idolâtres par la chair comme par le cœur, avaient accepté en grand nombre ce culte impur, et le prophète leur annonce, avec les châtiments du ciel le terme de leurs cérémonies étrangères, voir Gad.