C’est-à-dire, aigle marin. Saint Jérôme se sert de ce terme, après les Septante, pour marquer une sorte d’aigle qui passait pour impur chez les Hébreux (Lévitique 11.13 ; Deutéronome 14.13). l’hébreu porte haseninach, et Bochart croit qu’il signifie une sorte d’aigle nommé valeria, ou l’aigle noir.