Ce terme se trouve dans les Paralipomènes, et il signifie, à la lettre, des pierres d’antimoine. Mais on croit que le texte sacré marque, des pierres d’albâtre ; l’Hébreu (1 Chroniques 29.2), des pierres de phuc. Or le phuc, en hébreu, signifie la couleur dont les femmes se peignaient les yeux (2 Rois 9.40 Jérémie 4.30), qui était la couleur noire. On voit pair Isaïe (Isaïe 54.11) qu’on se servait aussi de pierres de phuc pour des pavés ; c’est ce qui fait croire qu’il signifie des pierres d’albâtre.