« Il ne saurait être question ici de la ville africaine de Cyrène : le texte ne parle même point de Cyrène, mais bien de Kir. Or le nom de Kir dont il s’agit doit être celui du fleuve Cyrus, qui coulait de l’Arménie vers la mer Caspienne. De cette manière le texte d’Amos s’explique, aussi bien que le transport des Syriens et des Israélites, que Salmanasar fît dans ses États ; autrement, en considérant le nom de Kir comme se rapportant à la capitale de la Cyrénaïque, ce dernier fait surtout devient inintelligible. » Barbié du Bocage.