Nom hébreu quelque peu énigmatique dans Jérémie 50.21, comme celui qui l’accompagne : Pékod (voir ce mot). Nos versions les traduisent comme noms communs pris symboliquement, et rendent merathaïm, signifiant : deux rébellions, par : deux fois rebelle. Mais il se peut aussi que le prophète ait ici désigné par son nom le pays appelé en babylonien Marrâtim — terre voisine du fleuve amer ; ce « fleuve amer » étant le golfe Persique, Merathaïm serait le sud de la Babylonie.
Numérisation : Yves Petrakian