(Psaumes 84.7) Nom probablement symbolique (cf. la « vallée de l’ombre de la mort » de Psaumes 23.4).
Il est possible, cependant, qu’une vallée des monts de Juda ait été réputée pour son aridité : le bâcâ était un arbre ou un arbuste de ces lieux désolés, peut-être le mûrier (voir ce mot) ; il vaudrait mieux traduire : la vallée du baca. En tout cas, l’ancienne traduction : la vallée des pleurs, doit être abandonnée, le verbe pleurer représentant en hébreu une autre racine (bâcâh)
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