Psaumes 62.2 Ô Dieu ! ô mon Dieu ! je veille et j’aspire vers vous dès que la lumière paraît : mon âme brûle d’une soif ardente pour vous ; et en combien de manières ma chair se sent-elle aussi pressée de cette ardeur ! Dans cette terre déserte où je me trouve, et où il n’y a ni chemin, ni eau,