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Psaumes 62.2 Louis Segond 1910
1(62.1) Au chef des chantres. D’après Jeduthun. Psaume de David. (62.2) Oui, c’est en Dieu que mon âme se confie ; de lui vient mon salut. 2(62.3) Oui, c’est lui qui est mon rocher et mon salut ; Ma haute retraite : je ne chancellerai guère. 3(62.4) Jusqu’à quand vous jetterez-vous sur un homme, Chercherez-vous tous à l’abattre, Comme une muraille qui penche, Comme une clôture qu’on renverse ? 4(62.5) Ils conspirent pour le précipiter de son poste élevé ; Ils prennent plaisir au mensonge ; Ils bénissent de leur bouche, Et ils maudissent dans leur cœur. — Pause. 5(62.6) Oui, mon âme, confie-toi en Dieu ! Car de lui vient mon espérance. 6(62.7) Oui, c’est lui qui est mon rocher et mon salut ; Ma haute retraite : je ne chancellerai pas. 7(62.8) Sur Dieu reposent mon salut et ma gloire ; le rocher de ma force, mon refuge, est en Dieu. 8(62.9) En tout temps, peuples, confiez-vous en lui, Répandez vos cœurs en sa présence ! Dieu est notre refuge, — Pause. 9(62.10) Oui, vanité, les fils de l’homme ! Mensonge, les fils de l’homme ! Dans une balance ils monteraient Tous ensemble, plus légers qu’un souffle. 10(62.11) Ne vous confiez pas dans la violence, Et ne mettez pas un vain espoir dans la rapine ; Quand les richesses s’accroissent, N’y attachez pas votre cœur. 11(62.12) Dieu a parlé une fois ; Deux fois j’ai entendu ceci : C’est que la force est à Dieu. 12(62.13) À toi aussi, Seigneur ! La bonté ; Car tu rends à chacun selon ses œuvres.