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Ancien. Nous disons le Vieux Testament par opposition au Nouveau. Moïse a été le ministre du Vieux Testament, de la vieillesse de la lettre (Hébreux 9.19-20) ; et Jésus-Christ est le médiateur du Nouveau Testament ou de la nouvelle alliance (Hébreux 9.15), qui consiste, non dans la lettre, mais dans l’esprit.
Le vieil homme, le vieil Adam (Romains 6.6), est dans le sens moral ce que nous tirons de la nature corrompue, et que nous devons crucifier avec Jésus-Christ, afin de faire mourir le corps du péché. Dans un autre endroit (Colossiens 3.9) il veut que nous nous dépouillions du vieil homme avec ses actes, et que nous nous revêtions du nouveau, qui par la connaissance se renouvelle en l’image de celui qui l’a créé ; et encore ailleurs (Éphésiens 4.22) il dit que nous devons nous dépouiller du vieil homme qui se corrompt dans ses désirs trompeurs, etc.
Le vieux levain est la concupiscence et l’attache aux observations littérales et cérémonielles de la loi. Saint Paul veut que nous célébrions la Pâque (1 Corinthiens 5.8). C’est aussi à-peu-près la même chose que Jésus-Christ a voulu marquer, lorsqu’il dit (Luc 5.37) que l’on ne mettait pas le vin nouveau dans de vieilles outres, de peur que, venant à s’échauffer, il ne les rompît.
Anne, mère de Samuel, dans son cantique, dit : (1 Samuel 2.3) : Que ces anciens reproches de stérilité que vous me faisiez ne sortent plus de votre bouche.
Les anciens fruits et les nouveaux qui se succèdent et qui se touchent l’un l’autre, et dont il est parlé dans le Lévitique (Lévitique 25.2 ; 26.10) et dans le Cantique des Cantiques (Cantique 7.13), marquent une très-grande abondance. Vous en aurez tant, que pour faire place aux nouveaux vous serez obligés de jeter les vieux.
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