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Version Synodale et Cramp, traduisent par ce nom de petit mammifère insectivore l’hébreu anâqâh (Lévitique 11.30), qui dans Ostervald et Segond est rendu par « hérisson » (voir ce mot) et dans les écrits juifs par « furet ». Comme la racine hébraïque signifie : pousser des cris plaintifs, on y voit le plus souvent aujourd’hui une sorte de lézard, comme le gecko, en effet capable de gémir (voir Lézard). Les cinq animaux impurs énumérés dans ce verset, sans doute reptiles ou réputés tels, sont très diversement identifiés par les savants modernes ; la Bible du Centenaire renonce à les traduire.
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