(2 Rois 17.30)
C’est le nom de l’idole que se firent les gens de Hamath. On ne sait rien sur sa forme ; quelques-uns lui donnent la figure d’un singe (cf. le latin Simia), d’autres celle d’un âne, d’un bœuf, du soleil, d’un agneau, d’un bouc, d’un satyre, du dieu Pan, etc. Les mages enfin pensent qu’Ashima était l’ange de la mort, qui sépare les âmes des corps. Ce sont tout autant de conjectures.