Nom donné par Segond et Crampon à une substance (en hébreu poûk) servant à enchâsser des pierres précieuses (Ésaïe 54.11) ; Version Synodale traduit « ciment », Ostervald et Martin (lisant : nôphek) « escarboucles », comme aussi dans 1 Chroniques 29.3, où Crampon et Version Synodale ont « pierres d’ornement » et Segond « pierres brillantes ». Poûk désigne proprement la poudre d’antimoine employée pour teindre le pourtour des yeux ; voir Fard, Arbrisseaux, 5.
Numérisation : Yves Petrakian