Nom que, d’après Deutéronome 3.9, les Amoréens donnaient au mont Hermon (voir ce mot), mais il en est distingué dans d’autres passages (1 Chroniques 5.23 ; Cantique 4.8). Il en désignait sans doute une partie, probablement le nord de l’Anti-Liban, que les géographes arabes antérieurs au XIVe siècle appellent Djebel Sanir. Dans 1 Chroniques 5.23, il est indiqué comme limitant Manassé à l’est du Jourdain. Le bois de cyprès du mont Sénir était très apprécié des Phéniciens pour la construction de leurs navires (Ézéchiel 27.5).
Numérisation : Yves Petrakian