L’apôtre a confiance ; car sa capacité lui vient, non de lui-même, mais de Dieu, qui l’a rendu capable d’être le serviteur de la nouvelle alliance (4-6).
Si le ministère de la mort a été glorieux en Moïse, combien plus le ministère de l’Esprit de vie ! Si le ministère de la condamnation a été glorieux, combien plus celui de la justice qui sauve le pécheur ! (7-9).
Si ce qui devait prendre fin a été glorieux, combien plus ce qui est permanent (10, 11) !