Jacques 4.11 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Jacques 4.11 (LSG) | Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu en es juge. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Jacques 4.11 (NEG) | Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu en es juge. |
Segond 21 (2007) | Jacques 4.11 (S21) | Ne dites pas du mal les uns des autres, frères et sœurs. Celui qui parle contre un frère ou qui juge son frère parle contre la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu ne la mets pas en pratique, mais tu t’en fais le juge. |
Louis Segond + Strong | Jacques 4.11 (LSGSN) | Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu en es juge. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Jacques 4.11 (BAN) | Ne médisez point les uns des autres, frères. Celui qui médit de son frère, ou qui juge son frère, médit de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es point observateur de la loi, mais juge. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Jacques 4.11 (SAC) | Mes frères, ne parlez point mal les uns des autres. Celui qui parle contre son frère, et qui juge son frère, parle contre la loi, et juge la loi. Si vous jugez la loi, vous n’en êtes plus observateur, mais vous vous en rendez le juge. |
David Martin (1744) | Jacques 4.11 (MAR) | Mes frères ne médisez point les uns des autres ; celui qui médit de son frère, et qui condamne son frère, médit de la Loi, et condamne la Loi ; or si tu condamnes la Loi, tu n’es point l’observateur de la Loi, mais le juge. |
Ostervald (1811) | Jacques 4.11 (OST) | Frères, ne médisez point les uns des autres. Celui qui médit d’un frère, et qui condamne son frère, médit de la loi, et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es point observateur, mais juge de la loi. |
Grande Bible de Tours (1866) | Jacques 4.11 (GBT) | Mes frères, ne parlez point mal les uns des autres. Celui qui parle mal de son frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi, et juge la loi. Or, si vous jugez la loi, vous n’en êtes plus l’observateur, mais le juge. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Jacques 4.11 (PGR) | Ne dites pas de mal les uns des autres, frères ; celui qui dit du mal d’un frère ou qui juge son frère, dit du mal de la loi et juge la loi ; or, si tu juges la loi, tu n’es pas l’observateur, mais le juge de la loi. |
Lausanne (1872) | Jacques 4.11 (LAU) | Ne parlez pas mal les uns des autres, frères : celui qui parle mal de son frère et qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais juge. |
Nouveau Testament Oltramare (1874) | Jacques 4.11 (OLT) | Mes frères, ne parlez point mal les uns des autres: celui qui dit du mal d’un frère ou qui juge son frère, dit du mal de la loi et juge la loi; or, si tu juges la loi, tu n’es pas un observateur de la loi, mais tu t’en fais juge. |
Darby (1885) | Jacques 4.11 (DBY) | Ne parlez pas l’un contre l’autre, frères. Celui qui parle contre son frère ou qui juge son frère, parle contre la loi et juge la loi. Or si tu juges la loi, tu n’es pas un observateur de la loi, mais un juge. |
Nouveau Testament Stapfer (1889) | Jacques 4.11 (STA) | Ne médisez pas les uns des autres, frères. Celui qui médit d’un frère ou qui juge son frère, médit de la Loi et juge la Loi. Or, si tu juges la Loi, tu n’observes plus la Loi, tu te mets audessus d’elle. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Jacques 4.11 (VIG) | Ne parlez pas mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi, et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu t’en fais le juge. |
Fillion (1904) | Jacques 4.11 (FIL) | Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi, et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, mais tu t’en fais le juge. |
Nouveau Testament et Psaumes Synodale (1921) | Jacques 4.11 (SYN) | Mes frères, ne médisez pas les uns des autres. Celui qui médit de son frère ou qui juge son frère, médit de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es pas observateur de la loi, tu t’en rends le juge. |
Auguste Crampon (1923) | Jacques 4.11 (CRA) | Frères, ne dites point de mal les uns des autres. Celui qui parle mal de son frère ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n’es plus un observateur de la loi, mais tu t’en fais juge. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Jacques 4.11 (BPC) | Ne dites pas de mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d’un frère ou qui juge son frère parle mal de la Loi et juge la Loi. Que si tu juges la Loi, tu n’es pas observateur de la Loi, mais tu t’ériges en juge. |
Amiot & Tamisier (1950) | Jacques 4.11 (AMI) | Ne dites pas de mal les uns des autres, mes frères. Celui qui médit de son frère ou qui le juge, médit de la Loi et juge la Loi. Or, si tu juges la Loi, tu n’en es plus l’observateur, mais tu te fais son juge. |
Langues étrangères | ||
Vulgate (1592) | Jacques 4.11 (VUL) | nolite detrahere de alterutrum fratres qui detrahit fratri aut qui iudicat fratrem suum detrahit legi et iudicat legem si autem iudicas legem non es factor legis sed iudex |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Jacques 4.11 (SWA) | Ndugu, msisingiziane; amsingiziaye ndugu yake, au kumhukumu ndugu yake, huisingizia sheria na kuihukumu sheria. Lakini ukiihukumu sheria, huwi mtenda sheria, bali umekuwa hakimu. |
SBL Greek New Testament (2010) | Jacques 4.11 (SBLGNT) | Μὴ καταλαλεῖτε ἀλλήλων, ἀδελφοί· ὁ καταλαλῶν ἀδελφοῦ ⸀ἢ κρίνων τὸν ἀδελφὸν αὐτοῦ καταλαλεῖ νόμου καὶ κρίνει νόμον· εἰ δὲ νόμον κρίνεις, οὐκ εἶ ποιητὴς νόμου ἀλλὰ κριτής. |