Dans la plupart des sacrifices (voir ce mot) le sang et quelques parties seulement de la victime étaient offerts à Dieu, une part revenait aux prêtres (voir ce mot), le reste constituait le repas des sacrifiants qui se prenait sur les lieux mêmes du sacrifice. L’holocauste était l’offrande sans prélèvements, consumée tout entière par le feu, un don sans réserve à Yahvé.
Numérisation : Yves Petrakian