Verset à verset Double colonne
Le poète semble avoir l’intention de représenter la défaite des amis. Bildad prononce un discours d’une brièveté surprenante en même temps qu’assez insignifiant. Il ne fait que répéter ce qu’Éliphaz a dit déjà avec plus de talent (Job 4.17 et suivants ; Job 15.14 et suivants). Il parle pour qu’il ne soit pas dit qu’il se tait. Les pensées qu’il énonce sont justes, mais ne suffisent absolument pas à expliquer la situation tragique de Job.
Ses troupes… les étoiles, les anges, les éléments (éclairs, tempêtes).
Sa lumière : non pas la lumière du soleil, mais les rayons de sa majesté, de la vérité, de sa science.