Néhémie 5.18 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Néhémie 5.18 (LSG) | On m’apprêtait chaque jour un bœuf, six moutons choisis, et des oiseaux ; et tous les dix jours on préparait en abondance tout le vin nécessaire. Malgré cela, je n’ai point réclamé les revenus du gouverneur, parce que les travaux étaient à la charge de ce peuple. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Néhémie 5.18 (NEG) | On m’apprêtait chaque jour un bœuf, six moutons choisis, et des oiseaux ; et tous les dix jours on préparait en abondance tout le vin nécessaire. Malgré cela, je n’ai point réclamé les revenus du gouverneur, parce que les travaux étaient à la charge de ce peuple. |
Segond 21 (2007) | Néhémie 5.18 (S21) | Chaque jour, on m’apprêtait un bœuf, six moutons de choix et de la volaille, et ce à mes frais, et tous les dix jours on préparait en abondance toutes sortes de vins. Malgré cela, je n’ai pas réclamé les revenus octroyés au gouverneur, car de lourdes charges pesaient déjà sur ce peuple. |
Louis Segond + Strong | Néhémie 5.18 (LSGSN) | On m’apprêtait chaque jour un bœuf, six moutons choisis , et des oiseaux ; et tous les dix jours on préparait en abondance tout le vin nécessaire. Malgré cela, je n’ai point réclamé les revenus du gouverneur, parce que les travaux étaient à la charge de ce peuple. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Néhémie 5.18 (BAN) | Et ce qu’on apprêtait pour un jour, un bœuf, six moutons de choix et de la volaille, était fourni par moi, et tous les dix jours toutes sortes de vins en abondance ; et avec cela je n’ai point réclamé les vivres alloués au gouverneur, parce que le service pesait lourdement sur ce peuple. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Néhémie 5.18 (SAC) | On m’apprêtait tous les jours un bœuf et six excellents moutons, sans les volailles. De dix en dix jours je distribuais une grande abondance de vin, et je donnais aussi beaucoup d’autres choses, quoique je ne prisse rien de tout ce qui était dû à ma charge : car le peuple était extrêmement pauvre. |
David Martin (1744) | Néhémie 5.18 (MAR) | Et ce qu’on apprêtait chaque jour, était un bœuf, et six moutons choisis. On m’apprêtait aussi des volailles ; et de dix en dix jours [on me présentait] de toute sorte de vin en abondance ; et nonobstant tout cela, je n’ai point demandé le plat qui était assigné au Gouverneur ; car c’eût été une rude servitude pour ce peuple. |
Ostervald (1811) | Néhémie 5.18 (OST) | Et ce qu’on apprêtait chaque jour, était un bœuf et six moutons choisis, et de la volaille, et de dix en dix jours toutes sortes de vins en abondance. Et avec tout cela, je n’ai point demandé le pain qui était assigné au gouverneur ; car le service pesait lourdement sur le peuple. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Néhémie 5.18 (CAH) | Et ce qui était préparé pour un jour (était) un bœuf, six moutons choisis, et des oiseaux m’étaient préparés, et tous les dix jours toute sorte de vin abondamment, et avec tout cela je n’ai pas réclamé le revenu de pacha, car le service pesait sur le peuple. |
Grande Bible de Tours (1866) | Néhémie 5.18 (GBT) | On m’apprêtait tous les jours un bœuf et six moutons de choix, sans compter les volailles. De dix en dix jours je distribuais du vin en abondance, et je donnais beaucoup d’autres choses, quoique je ne prisse rien de tout ce qui était dû à ma charge ; car le peuple était extrêmement pauvre. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Néhémie 5.18 (PGR) | Et l’ordinaire de chaque jour, un bœuf, six moutons gras et de la volaille, était préparé à mes frères ; et aussi de dix jours en dix jours tout le vin en abondance ; et avec cela je ne réclamai point le traitement de gouverneur, car le service pesait lourdement sur ce peuple. — |
Lausanne (1872) | Néhémie 5.18 (LAU) | Et quant à ce qui était apprêté pour chaque jour, on m’apprêtait un bœuf, six bêtes choisies du menu bétail, et des oiseaux ; et de dix en dix jours toutes sortes de vins en abondance. Et avec cela, je n’ai point réclamé{Héb. cherché.} le pain du gouverneur, parce que le service pesait sur ce peuple. |
Darby (1885) | Néhémie 5.18 (DBY) | Or ce qui m’était apprêté pour un jour, c’était un bœuf, et six moutons choisis ; on m’apprêtait aussi de la volaille, et, tous les dix jours, toutes sortes de vins en abondance ; et avec cela, je n’ai point réclamé le pain du gouverneur, parce que le service pesait lourdement sur ce peuple. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Néhémie 5.18 (TAN) | Et ce qu’on apprêtait pour chaque jour un bœuf, six moutons de choix et des volailles tout cela était apprêté à mes frais ; de même pour chaque période de dix jours, toutes sortes de vins en quantité. Malgré cela, je ne réclamais point les subsistances dues au gouverneur, car la corvée était lourde pour le peuple. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Néhémie 5.18 (VIG) | On m’apprêtait tous les jours un bœuf et six moutons (béliers) choisis, sans compter les volailles. De dix en dix jours je distribuais différents vins et beaucoup d’autres choses. Et pourtant (De plus) je n’ai pas réclamé les revenus du gouverneur ; car le peuple était très appauvri. |
Fillion (1904) | Néhémie 5.18 (FIL) | On m’apprêtait tous les jours un boeuf et six moutons choisis, sans compter les volailles. De dix en dix jours je distribuais différents vins et beaucoup d’autres choses. Et pourtant je n’ai point réclamé les revenus du gouverneur; car le peuple était très appauvri. |
Auguste Crampon (1923) | Néhémie 5.18 (CRA) | Voici ce qu’on préparait pour chaque jour : un bœuf, six moutons choisis, de la volaille étaient préparés à mes frais, et, tous les dix jours, tout le vin nécessaire, en abondance. Malgré cela, je n’ai pas réclamé le pain du gouverneur, parce que les travaux pesaient lourdement sur ce peuple. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Néhémie 5.18 (BPC) | Et voici ce qu’on préparait pour chaque jour : un bœuf, six moutons gras, de la volaille, et tous les dix jours on préparait tout le vin en abondance. Malgré cela, je n’ai pas réclamé le pain du gouverneur, parce que les travaux pesaient lourdement sur le peuple. |
Amiot & Tamisier (1950) | Néhémie 5.18 (AMI) | On m’apprêtait tous les jours un bœuf et six excellents moutons, sans les volailles. De dix en dix jours je distribuais une grande abondance de vin, et je donnais aussi beaucoup d’autres choses, quoique je ne prisse rien de tout ce qui était dû à ma charge, car le peuple était extrêmement pauvre. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Néhémie 5.18 (LXX) | καὶ ἦν γινόμενον εἰς ἡμέραν μίαν μόσχος εἷς καὶ πρόβατα ἓξ ἐκλεκτὰ καὶ χίμαρος ἐγίνοντό μοι καὶ ἀνὰ μέσον δέκα ἡμερῶν ἐν πᾶσιν οἶνος τῷ πλήθει καὶ σὺν τούτοις ἄρτους τῆς βίας οὐκ ἐζήτησα ὅτι βαρεῖα ἡ δουλεία ἐπὶ τὸν λαὸν τοῦτον. |
Vulgate (1592) | Néhémie 5.18 (VUL) | parabatur autem mihi per dies singulos bos unus arietes sex electi exceptis volatilibus et inter dies decem vina diversa et alia multa tribuebam insuper et annonas ducatus mei non quaesivi valde enim erat adtenuatus populus |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Néhémie 5.18 (SWA) | Basi, maandalio yaliyoandaliwa kwa siku moja yalikuwa ng’ombe mmoja, na kondoo wazuri sita; tena nikaandaliwa kuku, na mara moja katika siku kumi akiba ya mvinyo ya namna zote; wala kwa hayo yote sikukidai chakula cha liwali, kwa kuwa utumwa ulikuwa mzito juu ya watu hao. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Néhémie 5.18 (BHS) | וַאֲשֶׁר֩ הָיָ֨ה נַעֲשֶׂ֜ה לְיֹ֣ום אֶחָ֗ד שֹׁ֣ור אֶחָ֞ד צֹ֠אן שֵׁשׁ־בְּרֻרֹ֤ות וְצִפֳּרִים֙ נַֽעֲשׂוּ־לִ֔י וּבֵ֨ין עֲשֶׂ֧רֶת יָמִ֛ים בְּכָל־יַ֖יִן לְהַרְבֵּ֑ה וְעִם־זֶ֗ה לֶ֤חֶם הַפֶּחָה֙ לֹ֣א בִקַּ֔שְׁתִּי כִּֽי־כָֽבְדָ֥ה הָעֲבֹדָ֖ה עַל־הָעָ֥ם הַזֶּֽה׃ |