Job 3.10 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Job 3.10 (LSG) | Car elle n’a pas fermé le sein qui me conçut, Ni dérobé la souffrance à mes regards. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Job 3.10 (NEG) | Car elle n’a pas fermé le sein qui me conçut, Ni dérobé la souffrance à mes regards. |
Segond 21 (2007) | Job 3.10 (S21) | En effet, elle n’a pas fermé les portes du ventre qui m’a porté, pour m’empêcher de connaître le malheur. |
Louis Segond + Strong | Job 3.10 (LSGSN) | Car elle n’a pas fermé le sein qui me conçut, Ni dérobé la souffrance à mes regards. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Job 3.10 (BAN) | Puisqu’elle n’a pas fermé les portes du sein qui m’a porté, Et qu’elle n’a pas dérobé le malheur à mes yeux. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Job 3.10 (SAC) | parce qu’elle n’a point fermé le sein qui m’a porté, et qu’elle n’a point détourné de moi les maux qui m’accablent. |
David Martin (1744) | Job 3.10 (MAR) | Parce qu’elle n’a pas fermé le ventre qui m’a porté, et qu’elle n’a point caché le tourment loin de mes yeux. |
Ostervald (1811) | Job 3.10 (OST) | Parce qu’elle n’a pas fermé le sein qui me porta, et n’a point caché la douleur à mes yeux ! |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Job 3.10 (CAH) | Parce qu’elle ne m’a pas fermé les portes de l’existence et n’a pas soustrait la peine à mes yeux ! |
Grande Bible de Tours (1866) | Job 3.10 (GBT) | Parce qu’elle n’a point fermé le sein qui m’a porté, et qu’elle n’a point ôté le mal de devant mes yeux. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Job 3.10 (PGR) | car elle ne ferma point le sein dont j’ai franchi les portes, et n’a point dérobé le chagrin à ma vue ! |
Lausanne (1872) | Job 3.10 (LAU) | puisqu’elle n’a pas fermé les portes du ventre qui m’a porté, ni dérobé le tourment à mes yeux. |
Darby (1885) | Job 3.10 (DBY) | Parce qu’elle n’a pas fermé les portes du sein qui m’a porté, et n’a pas caché la misère de devant mes yeux. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Job 3.10 (TAN) | pour n’avoir pas tenu closes les portes du sein qui m’avait conçu et caché la misère à mes regards ! |
Glaire et Vigouroux (1902) | Job 3.10 (VIG) | parce qu’elle n’a pas fermé le sein qui m’a porté, ni dérobé les souffrances à (maux de devant de) mes regards (yeux). |
Fillion (1904) | Job 3.10 (FIL) | parce qu’elle n’a pas fermé le sein qui m’a porté, ni dérobé les souffrances à mes regards. |
Auguste Crampon (1923) | Job 3.10 (CRA) | parce qu’elle ne m’a pas fermé les portes du sein, et n’a pas dérobé la souffrance à mes regards ! |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Job 3.10 (BPC) | Pour n’avoir point fermé le sein qui me conçut - et n’avoir point caché la misère à mes yeux ! |
Amiot & Tamisier (1950) | Job 3.10 (AMI) | parce qu’elle n’a point fermé le sein qui m’a porté, et qu’elle n’a point détourné de moi les maux qui m’accablent. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Job 3.10 (LXX) | ὅτι οὐ συνέκλεισεν πύλας γαστρὸς μητρός μου ἀπήλλαξεν γὰρ ἂν πόνον ἀπὸ ὀφθαλμῶν μου. |
Vulgate (1592) | Job 3.10 (VUL) | quia non conclusit ostia ventris qui portavit me nec abstulit mala ab oculis meis |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Job 3.10 (SWA) | Kwa sababu haukuifunga milango ya tumbo la mamangu. Wala kunifichia taabu machoni. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Job 3.10 (BHS) | כִּ֤י לֹ֣א סָ֭גַר דַּלְתֵ֣י בִטְנִ֑י וַיַּסְתֵּ֥ר עָ֝מָ֗ל מֵעֵינָֽי׃ |