Ecclésiaste 2.24 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Ecclésiaste 2.24 (LSG) | Il n’y a de bonheur pour l’homme qu’à manger et à boire, et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail ; mais j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Ecclésiaste 2.24 (NEG) | Il n’y a de bonheur pour l’homme qu’à manger et à boire, et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail ; mais j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. |
Segond 21 (2007) | Ecclésiaste 2.24 (S21) | Le seul bonheur, pour l’homme, consiste à manger, à boire et à se donner du plaisir dans son travail, mais cela aussi, je l’ai bien vu moi-même, dépend de Dieu. |
Louis Segond + Strong | Ecclésiaste 2.24 (LSGSN) | Il n’y a de bonheur pour l’homme qu’à manger et à boire , et à faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail ; mais j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Ecclésiaste 2.24 (BAN) | Ce n’est point un bien qui dépende de l’homme que de manger, de boire et de réjouir son âme du fruit de ses peines. J’ai vu que cela aussi dépend de Dieu. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Ecclésiaste 2.24 (SAC) | Ne vaut-il pas mieux manger et boire, et faire du bien à son âme du fruit de ses travaux ? Et ceci vient de la main de Dieu. |
David Martin (1744) | Ecclésiaste 2.24 (MAR) | N’est-ce donc pas un bien pour l’homme de manger, et de boire, et de faire que son âme jouisse du bien dans son travail ? J’ai vu aussi que cela vient de la main de Dieu. |
Ostervald (1811) | Ecclésiaste 2.24 (OST) | Ne vaut-il pas mieux pour l’homme, manger et boire, et faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail ? J’ai vu aussi que cela vient de la main de Dieu. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Ecclésiaste 2.24 (CAH) | Ce n’est pas un bien pour l’homme qu’il mange, qu’il boive et se montre content dans son travail ; cela aussi j’ai vu moi que cela vient de la main de Dieu. |
Grande Bible de Tours (1866) | Ecclésiaste 2.24 (GBT) | Ne vaut-il pas mieux manger, boire, et montrer à son âme le fruit de ses travaux ? et c’est un don de la main de Dieu. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Ecclésiaste 2.24 (PGR) | Rien de mieux pour l’homme que de manger et de boire, et de faire goûter du bien-être à son âme, pendant son travail. Je vis que cela aussi est un don de la main de Dieu. |
Lausanne (1872) | Ecclésiaste 2.24 (LAU) | Il n’est rien de bon pour l’homme, en son labeur, que de manger et de boire, et de faire goûter le bien-être{Héb. faire voir du bien.} à son âme. Pour cela aussi, j’ai vu que c’est une chose qui vient de la main de Dieu. |
Darby (1885) | Ecclésiaste 2.24 (DBY) | Il n’y a rien de bon pour l’homme que de manger et de boire, et de faire jouir son âme du bien-être dans son travail. Et j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Ecclésiaste 2.24 (TAN) | Ne vaut-il pas mieux pour l’homme de manger, de boire et de se donner du plaisir pour prix de son labeur ? Cela aussi, je l’ai constaté, émane de Dieu. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Ecclésiaste 2.24 (VIG) | Ne vaut-il pas mieux manger et boire, et montrer le bonheur à son âme du fruit de ses travaux ? Et cela vient de la main de Dieu. |
Fillion (1904) | Ecclésiaste 2.24 (FIL) | Ne vaut-il pas mieux manger et boire, et montrer le bonheur à son âme du fruit de ses travaux? Et cela vient de la main de Dieu. |
Auguste Crampon (1923) | Ecclésiaste 2.24 (CRA) | Il n’y a rien de meilleur pour l’homme que de manger et de boire, et de faire jouir son âme du bien-être, au milieu de son travail ; mais j’ai vu que cela aussi vient de la main de Dieu. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Ecclésiaste 2.24 (BPC) | Il n’y a rien de bon pour l’homme comme de manger, de boire et de goûter soi-même le bien-être dans son travail. Mais j’ai vu que cela vient de la main de Dieu. |
Amiot & Tamisier (1950) | Ecclésiaste 2.24 (AMI) | Ne vaut-il pas mieux manger et boire, et goûter soi-même le bien-être dans son travail ? Et ceci vient de la main de Dieu. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Ecclésiaste 2.24 (LXX) | οὐκ ἔστιν ἀγαθὸν ἐν ἀνθρώπῳ ὃ φάγεται καὶ ὃ πίεται καὶ ὃ δείξει τῇ ψυχῇ αὐτοῦ ἀγαθὸν ἐν μόχθῳ αὐτοῦ καί γε τοῦτο εἶδον ἐγὼ ὅτι ἀπὸ χειρὸς τοῦ θεοῦ ἐστιν. |
Vulgate (1592) | Ecclésiaste 2.24 (VUL) | nonne melius est comedere et bibere et ostendere animae suae bona de laboribus suis et hoc de manu Dei est |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Ecclésiaste 2.24 (SWA) | Mwanadamu hapati jema kupita kula na kunywa, na kuiburudisha roho yake kwa mema katika kazi yake. Hayo nayo naliona ya kwamba hutoka mkononi mwa Mungu. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Ecclésiaste 2.24 (BHS) | אֵֽין־טֹ֤וב בָּאָדָם֙ שֶׁיֹּאכַ֣ל וְשָׁתָ֔ה וְהֶרְאָ֧ה אֶת־נַפְשֹׁ֛ו טֹ֖וב בַּעֲמָלֹ֑ו גַּם־זֹה֙ רָאִ֣יתִי אָ֔נִי כִּ֛י מִיַּ֥ד הָאֱלֹהִ֖ים הִֽיא׃ |