Ecclésiaste 4.8 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Ecclésiaste 4.8 (LSG) | Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Ecclésiaste 4.8 (NEG) | Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissances ? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise. |
Segond 21 (2007) | Ecclésiaste 4.8 (S21) | un homme peut être seul, sans aucun proche, sans fils ni frère, et pourtant son travail n’a pas de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. « Pour qui donc est-ce que je travaille et me prive de bonheur ? » se demande-t-il. Cela aussi, c’est de la fumée et une mauvaise occupation. |
Louis Segond + Strong | Ecclésiaste 4.8 (LSGSN) | Tel homme est seul et sans personne qui lui tienne de près, il n’a ni fils ni frère, et pourtant son travail n’a point de fin et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. Pour qui donc est-ce que je travaille, Et que je prive mon âme de jouissances ? C’est encore là une vanité et une chose mauvaise. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Ecclésiaste 4.8 (BAN) | tel homme est seul, sans personne, ni fils, ni frère ; cependant il n’y a pas de fin à tout son travail et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses… Pour qui donc est-ce que je travaille et prive mon âme de jouissances ? Cela aussi est vanité et occupation fâcheuse. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Ecclésiaste 4.8 (SAC) | Tel est seul et n’a personne avec lui, ni enfant, ni frère, qui néanmoins travaille sans cesse : ses yeux sont insatiables de richesses ; et il ne lui vient point dans l’esprit de se dire à lui-même : Pour qui est-ce que je travaille ? et pourquoi me priver moi-même de l’usage de mes biens ? C’est là encore une vanité, et une affliction bien malheureuse. |
David Martin (1744) | Ecclésiaste 4.8 (MAR) | C’est qu’il y a tel qui est seul, et qui n’a point de second, qui aussi n’a ni fils ni frère, et qui cependant ne met nulle fin à son travail ; même son œil ne voit jamais assez de richesses, [et il ne dit point en lui-même] : Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme du bien ? Cela aussi [est] une vanité, et une fâcheuse occupation. |
Ostervald (1811) | Ecclésiaste 4.8 (OST) | Tel homme est seul, et n’a point de second ; il n’a ni fils, ni frère, et toutefois, il n’y a point de fin à tout son travail ; même ses yeux ne se rassasient jamais de richesses ; il ne se dit point : Pour qui est-ce que je travaille et que je prive mon âme du bien ? Cela aussi est une vanité et une pénible occupation. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Ecclésiaste 4.8 (CAH) | Tel est seul sans second, il n’a pas non plus de fils ni de frère, et (pourtant) sa fatigue n’a pas de fin ; son œil non plus ne se rassasie pas de richesse. Mais pour qui est-ce que je me fatigue et me prive de mon bien-être ? Cela aussi est vanité et une déplorable affliction. |
Grande Bible de Tours (1866) | Ecclésiaste 4.8 (GBT) | Tel est seul et n’a personne près de lui, ni enfant, ni frère, et cependant il ne cesse de travailler, et ses yeux ne se rassasient pas de richesses ; et il ne lui vient point à l’esprit de se dire : Pour qui est-ce que je travaille ? et pourquoi me priver moi-même de l’usage de mes biens ? C’est encore là une vanité et une affliction très-malheureuse. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Ecclésiaste 4.8 (PGR) | Cet homme est seul, et n’a pas un autre lui-même ; il n’a ni fils, ni frère, et cependant son labeur est sans fin, et ses yeux n’ont jamais assez des richesses. Pour qui donc est-ce que je me peine, et sèvre mon âme du bonheur ? C’est aussi là une vanité et une tâche ingrate. |
Lausanne (1872) | Ecclésiaste 4.8 (LAU) | Tel est seul et n’a pas de second, il n’a pas non plus de fils ni de frère, et [pourtant] il n’y a point de fin à tout son labeur ; ses yeux, non plus, ne sont point rassasiés de richesse... Et pour qui est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur ? Cela aussi est une vanité, et c’est une affaire ingrate que cela. |
Darby (1885) | Ecclésiaste 4.8 (DBY) | tel est seul sans qu’il y ait de second : il n’a pas non plus de fils ni de frère, et il n’y a pas de fin à tout son labeur ; son œil n’est pas non plus rassasié par la richesse, et il ne se dit pas : Pour qui donc est-ce que je me tourmente et que je prive mon âme de bonheur ? Cela aussi est une vanité et une ingrate occupation. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Ecclésiaste 4.8 (TAN) | Voici un homme isolé, sans compagnon, qui n’a même pas de fils ni de frère, et il ne met pas de bornes à son labeur ! Ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses. [II ne se demande pas :] "Pour qui est-ce que je peine ? Pour qui refusé-je à mon âme la moindre jouissance ?" Encore une vanité et une triste condition ! |
Glaire et Vigouroux (1902) | Ecclésiaste 4.8 (VIG) | Tel est seul et n’a personne avec lui, ni fils, ni frère, et cependant il ne cesse pas de travailler, et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses ; et il ne réfléchit pas, en disant : Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de biens ? C’est là encore (une) vanité, et une affliction très fâcheuse (malheureuse). |
Fillion (1904) | Ecclésiaste 4.8 (FIL) | Tel est seul et n’a personne avec lui, ni fils, ni frère, et cependant il ne cesse pas de travailler, et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses; et il ne réfléchit pas, en disant: Pour qui est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de biens? C’est là encore une vanité, et une affliction très fâcheuse. |
Auguste Crampon (1923) | Ecclésiaste 4.8 (CRA) | Tel homme est seul et n’a pas de second, il n’a ni fils ni frère, et pourtant il n’y a pas de fin à tout son travail, et ses yeux ne sont jamais rassasiés de richesses : « Pour qui donc est-ce que je travaille, et que je prive mon âme de jouissance ?» Cela encore est vanité, et mauvaise occupation. — Sentences : Inconvénients de la vie solitaire. — |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Ecclésiaste 4.8 (BPC) | Tel homme est seul et sans compagnon ; il n’a ni fils ni frère ; pourtant il ne cesse de travailler et ses yeux ne se rassasient pas de richesses. Et pour qui est-ce que je travaille et me prive de bien-être ? Cela aussi n’est que vanité et occupation mauvaise. |
Amiot & Tamisier (1950) | Ecclésiaste 4.8 (AMI) | Tel est seul et n’a personne avec lui, ni enfant, ni frère, qui néanmoins travaille sans cesse ; ses yeux sont insatiables de richesses, et il ne lui vient point dans l’esprit de se dire à lui-même : Pour qui est-ce que je travaille ? et pourquoi me priver moi-même de l’usage de mes biens ? C’est là encore une vanité, et une occupation bien malheureuse. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Ecclésiaste 4.8 (LXX) | ἔστιν εἷς καὶ οὐκ ἔστιν δεύτερος καί γε υἱὸς καὶ ἀδελφὸς οὐκ ἔστιν αὐτῷ καὶ οὐκ ἔστιν περασμὸς τῷ παντὶ μόχθῳ αὐτοῦ καί γε ὀφθαλμὸς αὐτοῦ οὐκ ἐμπίπλαται πλούτου καὶ τίνι ἐγὼ μοχθῶ καὶ στερίσκω τὴν ψυχήν μου ἀπὸ ἀγαθωσύνης καί γε τοῦτο ματαιότης καὶ περισπασμὸς πονηρός ἐστιν. |
Vulgate (1592) | Ecclésiaste 4.8 (VUL) | unus est et secundum non habet non filium non fratrem et tamen laborare non cessat nec satiantur oculi eius divitiis nec recogitat dicens cui laboro et fraudo animam meam bonis in hoc quoque vanitas est et adflictio pessima |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Ecclésiaste 4.8 (SWA) | Kuna mtu aliye peke yake, wala hana wa pili wake; naam, hana mwana wala ndugu; hata hivyo amali yake haina mwisho, wala macho yake hayashibi utajiri. Basi asema, Ni kwa ajili ya nani nafanya kazi, na kujinyima nafsi yangu mema? Hayo nayo ni ubatili, naam, ni taabu kubwa. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Ecclésiaste 4.8 (BHS) | יֵ֣שׁ אֶחָד֩ וְאֵ֨ין שֵׁנִ֜י גַּ֣ם בֵּ֧ן וָאָ֣ח אֵֽין־לֹ֗ו וְאֵ֥ין קֵץ֙ לְכָל־עֲמָלֹ֔ו גַּם־עֵינֹ֖ו לֹא־תִשְׂבַּ֣ע עֹ֑שֶׁר וּלְמִ֣י׀ אֲנִ֣י עָמֵ֗ל וּמְחַסֵּ֤ר אֶת־נַפְשִׁי֙ מִטֹּובָ֔ה גַּם־זֶ֥ה הֶ֛בֶל וְעִנְיַ֥ן רָ֖ע הֽוּא׃ |