Jérémie 4.31 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Jérémie 4.31 (LSG) | Car j’entends des cris comme ceux d’une femme en travail, Des cris d’angoisse comme dans un premier enfantement. C’est la voix de la fille de Sion ; elle soupire, elle étend les mains : Malheureuse que je suis ! Je succombe sous les meurtriers ! |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Jérémie 4.31 (NEG) | Car j’entends des cris comme ceux d’une femme en travail, Des cris d’angoisse comme dans un premier enfantement. C’est la voix de la fille de Sion ; elle soupire, elle étend les mains : Malheureuse que je suis ! je succombe sous les meurtriers ! |
Segond 21 (2007) | Jérémie 4.31 (S21) | Oui, j’entends des cris pareils à ceux d’une femme prête à accoucher, des cris d’angoisse pareils à ceux d’une femme qui met son premier enfant au monde. C’est la voix de la fille de Sion ; elle suffoque, elle tend ses mains : « Malheureuse que je suis ! Je m’effondre face aux meurtriers ! » |
Louis Segond + Strong | Jérémie 4.31 (LSGSN) | Car j’entends des cris comme ceux d’une femme en travail , Des cris d’angoisse comme dans un premier enfantement . C’est la voix de la fille de Sion ; elle soupire , elle étend les mains : Malheureuse que je suis ! je succombe sous les meurtriers ! |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Jérémie 4.31 (BAN) | Car j’entends une voix comme celle d’une femme en travail ; un cri d’angoisse, comme de celle qui enfante une première fois ; c’est la voix de la fille de Sion ; elle est haletante, elle étend les mains : Malheur à moi ! Car mon âme succombe aux coups des meurtriers. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Jérémie 4.31 (SAC) | Car j’entends la voix comme d’une femme qui est en travail, qui est déchirée par les douleurs de l’enfantement ; j’entends la voix de la fille de Sion qui est toute mourante, qui étend les mains et qui crie : Malheur à moi ! puisque mon âme m’abandonne à cause du carnage de mes enfants. |
David Martin (1744) | Jérémie 4.31 (MAR) | Car j’ai ouï un cri comme celui d’une [femme] qui est en travail, et une angoisse comme celle d’une femme qui est en travail de son premier-né ; c’est le cri de la fille de Sion ; elle soupire, elle étend ses mains, [en disant] : Malheur maintenant à moi, car mon âme est défaillie à cause des meurtriers. |
Ostervald (1811) | Jérémie 4.31 (OST) | Car j’entends comme le cri d’une femme en travail, comme l’angoisse d’une femme à son premier enfantement ; c’est le cri de la fille de Sion qui soupire, étendant les mains : "Ah ! malheur à moi ! car mon âme succombe sous les meurtriers ! " |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Jérémie 4.31 (CAH) | Car j’ai entendu une voix comme celle de la femme en travail, des cris d’angoisse comme dans un premier enfantement, la voix de la fille de Tsione (Sion) ; elle soupire, étend les bras : Hélas ! malheur à moi, car ma vie succombe devant les meurtriers. |
Grande Bible de Tours (1866) | Jérémie 4.31 (GBT) | Car j’entends la voix comme d’une femme en travail, déchirée par les douleurs de l’enfantement ; j’entends la voix de la fille de Sion, qui est mourante, qui étend les mains et crie : Malheur à moi, puisque mon âme est en défaillance à cause du nombre des victimes ! |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Jérémie 4.31 (PGR) | Car j’entends comme la voix d’une femme en travail, un cri d’angoisse comme au premier enfantement : c’est la voix de la fille de Sion ; elle soupire, étend les bras : « C’en est fait de moi ! mon âme succombe sous les meurtriers ! » |
Lausanne (1872) | Jérémie 4.31 (LAU) | Car j’entends comme la voix d’une femme en travail, comme l’angoisse d’une femme pour son premier-né ; c’est la voix de la fille de Sion ; elle est haletante, elle étend les mains : Ah ! malheur à moi ! car mon âme est accablée par les meurtriers ! |
Darby (1885) | Jérémie 4.31 (DBY) | Car j’ai entendu une voix comme celle d’une femme en travail, une angoisse comme d’une femme enfantant son premier-né, la voix de la fille de Sion ; elle soupire, elle étend ses mains : Malheur à moi ! car mon âme a défailli à cause des meurtriers ! |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Jérémie 4.31 (TAN) | Car j’entends des plaintes comme celles d’une femme en travail, des cris d’angoisse comme ceux d’une mère mettant au monde son premier-né : c’est la voix de Sion qui exhale des soupirs, qui se tord les bras : "Malheur à moi, mon âme est à bout de force devant les meurtriers !" |
Glaire et Vigouroux (1902) | Jérémie 4.31 (VIG) | Car j’entends une (j’ai entendu la) voix comme d’une femme en travail, des cris d’angoisse comme d’une femme qui enfante ; c’est la voix de la fille de Sion mourante, et qui étend les mains : Malheur à moi, car mon âme m’abandonne à cause de ceux qui ont été tués. |
Fillion (1904) | Jérémie 4.31 (FIL) | Car j’entends une voix comme d’une femme en travail, des cris d’angoisse comme d’une femme qui enfante; c’est la voix de la fille de Sion mourante, et qui étend les mains : Malheur à moi, car mon âme m’abandonne à cause de ceux qui ont été tués. |
Auguste Crampon (1923) | Jérémie 4.31 (CRA) | Car j’entends une voix comme d’une femme en travail, des cris d’angoisse comme d’une femme qui enfante pour la première fois ; voix de la fille de Sion, qui pousse des soupirs et étend les mains : « Malheur à moi ! car mon âme succombe aux coups des meurtriers !?» |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Jérémie 4.31 (BPC) | J’entends des cris comme d’une femme en travail, - un gémissement comme de celle qui enfante la première fois, Cris de la fille Sion qui soupire et étend ses mains : - “Malheur à moi, car mon âme succombe sous les coups des meurtriers !” |
Amiot & Tamisier (1950) | Jérémie 4.31 (AMI) | Car j’entends la voix comme d’une femme qui est en travail, qui est déchirée par les douleurs de l’enfantement ; j’entends la voix de la fille de Sion qui pousse des soupirs, qui étend les mains et qui crie : Malheur à moi, car mon âme m’abandonne sous les coups des meurtriers ! |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Jérémie 4.31 (LXX) | ὅτι φωνὴν ὡς ὠδινούσης ἤκουσα τοῦ στεναγμοῦ σου ὡς πρωτοτοκούσης φωνὴ θυγατρὸς Σιων ἐκλυθήσεται καὶ παρήσει τὰς χεῖρας αὐτῆς οἴμμοι ἐγώ ὅτι ἐκλείπει ἡ ψυχή μου ἐπὶ τοῖς ἀνῃρημένοις. |
Vulgate (1592) | Jérémie 4.31 (VUL) | vocem enim quasi parturientis audivi angustias ut puerperae vox filiae Sion intermorientis expandentisque manus suas vae mihi quia defecit anima mea propter interfectos |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Jérémie 4.31 (SWA) | Kwa maana nimesikia sauti, kama sauti ya mwanamke wakati wa utungu wake, na sauti yake aumwaye, kama mwanamke azaaye mtoto wake wa kwanza, sauti ya binti Sayuni, atwetaye kupata pumzi, na kunyosha mikono yake, akisema, Ole wangu, sasa! Kwa maana roho yangu inazimia mbele ya wauaji. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Jérémie 4.31 (BHS) | כִּי֩ קֹ֨ול כְּחֹולָ֜ה שָׁמַ֗עְתִּי צָרָה֙ כְּמַבְכִּירָ֔ה קֹ֧ול בַּת־צִיֹּ֛ון תִּתְיַפֵּ֖חַ תְּפָרֵ֣שׂ כַּפֶּ֑יהָ אֹֽוי־נָ֣א לִ֔י כִּֽי־עָיְפָ֥ה נַפְשִׁ֖י לְהֹרְגִֽים׃ פ |