Marc 10.2 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Marc 10.2 (LSG) | Les pharisiens l’abordèrent ; et, pour l’éprouver, ils lui demandèrent s’il est permis à un homme de répudiée sa femme. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Marc 10.2 (NEG) | Les pharisiens l’abordèrent ; et, pour l’éprouver, ils lui demandèrent s’il est permis à un homme de répudier sa femme. |
Segond 21 (2007) | Marc 10.2 (S21) | Les pharisiens l’abordèrent et, pour lui tendre un piège, ils lui demandèrent s’il est permis à un homme de divorcer de sa femme. |
Louis Segond + Strong | Marc 10.2 (LSGSN) | Les pharisiens l’abordèrent ; et, pour l’éprouver , ils lui demandèrent s’il est permis à un homme de répudier sa femme. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Marc 10.2 (BAN) | Et des pharisiens s’étant approchés, lui demandaient, pour le tenter : Est-il permis à un homme de répudier sa femme ? |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Marc 10.2 (SAC) | Les pharisiens y étant venus, lui demandèrent pour le tenter : Est-il permis à un homme de renvoyer sa femme ? |
David Martin (1744) | Marc 10.2 (MAR) | Alors des Pharisiens vinrent à lui, et pour l’éprouver ils lui demandèrent : est-il permis à un homme de répudier sa femme ? |
Ostervald (1811) | Marc 10.2 (OST) | Alors les pharisiens vinrent et lui demandèrent, pour l’éprouver : Est-il permis à un homme de répudier sa femme |
Les Évangiles de Félicité Robert de Lamennais (1846) | Marc 10.2 (LAM) | Et, s’approchant, les Pharisiens lui demandèrent, pour le tenter, s’il est permis au mari de renvoyer sa femme. |
Grande Bible de Tours (1866) | Marc 10.2 (GBT) | Les pharisiens, s’approchant, lui demandèrent pour le tenter : Est-il permis à un homme de renvoyer sa femme ? |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Marc 10.2 (PGR) | Et des pharisiens s’étant approchés lui demandaient : « Est-il permis à un homme de répudier sa femme ? » voulant ainsi le mettre à l’épreuve. |
Lausanne (1872) | Marc 10.2 (LAU) | Et les pharisiens s’approchant, lui demandèrent, pour le tenter, s’il est permis à un homme de répudier une femme. |
Nouveau Testament Oltramare (1874) | Marc 10.2 (OLT) | Des pharisiens vinrent vers lui, et lui demandèrent s’il est permis à un mari de répudier sa femme: c’était pour le mettre à l’épreuve. |
Darby (1885) | Marc 10.2 (DBY) | Et des pharisiens vinrent à lui, et, pour l’éprouver, lui demandèrent : Est-il permis à un homme de répudier sa femme ? |
Nouveau Testament Stapfer (1889) | Marc 10.2 (STA) | Les Pharisiens vinrent à lui et lui demandèrent : « Est-il permis à un mari de répudier sa femme ? » C’était pour le mettre à l’épreuve. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Marc 10.2 (VIG) | Et s’approchant, les pharisiens lui demandèrent, pour le tenter : Est-il permis à un homme de renvoyer sa femme ? |
Fillion (1904) | Marc 10.2 (FIL) | Et s’approchant, les pharisiens Lui demandèrent, pour Le tenter: Est-il permis à un homme de renvoyer sa femme? |
Nouveau Testament et Psaumes Synodale (1921) | Marc 10.2 (SYN) | Alors les pharisiens s’approchèrent et lui demandèrent, pour le mettre à l’épreuve : Est-il permis à un homme de répudier sa femme ? |
Auguste Crampon (1923) | Marc 10.2 (CRA) | Les Pharisiens l’ayant abordé lui demandèrent s’il était permis à un mari de répudier sa femme : c’était pour le mettre à l’épreuve. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Marc 10.2 (BPC) | Des pharisiens s’approchaient. Ils lui demandaient : “Est-il permis à un mari de répudier sa femme ? ” Ils voulaient le mettre à l’épreuve. |
Amiot & Tamisier (1950) | Marc 10.2 (AMI) | Des pharisiens vinrent à lui et, pour l’embarrasser, lui demandèrent s’il était permis à un homme de répudier sa femme. |
Langues étrangères | ||
Vulgate (1592) | Marc 10.2 (VUL) | et accedentes Pharisaei interrogabant eum si licet viro uxorem dimittere temptantes eum |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Marc 10.2 (SWA) | Basi Mafarisayo wakamwendea, wakamwuliza, Je! Ni halali mtu kumwacha mkewe? Huku wakimjaribu. |
SBL Greek New Testament (2010) | Marc 10.2 (SBLGNT) | ⸀Καὶ ⸀ἐπηρώτων αὐτὸν εἰ ἔξεστιν ἀνδρὶ γυναῖκα ἀπολῦσαι, πειράζοντες αὐτόν. |