Luc 18.13 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Luc 18.13 (LSG) | Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Luc 18.13 (NEG) | Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. |
Segond 21 (2007) | Luc 18.13 (S21) | Le collecteur d’impôts, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux au ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : ‹ Ô Dieu, aie pitié de moi, qui suis un pécheur. › |
Louis Segond + Strong | Luc 18.13 (LSGSN) | Le publicain, se tenant à distance, n’osait même pas lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Luc 18.13 (BAN) | Mais le péager, se tenant à distance, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Dieu ! Sois apaisé envers moi, qui suis pécheur ! |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Luc 18.13 (SAC) | Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : Mon Dieu ! ayez pitié de moi qui suis un pécheur. |
David Martin (1744) | Luc 18.13 (MAR) | Mais le péager se tenant loin, n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais frappait sa poitrine, en disant : ô Dieu ! sois apaisé envers moi qui suis pécheur ! |
Ostervald (1811) | Luc 18.13 (OST) | Mais le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi qui suis pécheur ! |
Les Évangiles de Félicité Robert de Lamennais (1846) | Luc 18.13 (LAM) | Et le publicain, se tenant loin, n’osoit pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappoit sa poitrine, disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur. |
Grande Bible de Tours (1866) | Luc 18.13 (GBT) | Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi, qui suis pécheur. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Luc 18.13 (PGR) | Mais le publicain se tenant à distance ne se permettait pas même de lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « O Dieu, aie compassion de moi qui suis pécheur ! » |
Lausanne (1872) | Luc 18.13 (LAU) | Et le péager, se tenant éloigné, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur ! |
Nouveau Testament Oltramare (1874) | Luc 18.13 (OLT) | Et le publicain, se tenant à distance, ne se permettait pas même de lever les yeux au ciel; mais il se frappait la poitrine, en disant: «Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur.» |
Darby (1885) | Luc 18.13 (DBY) | Et le publicain, se tenant loin, ne voulait même pas lever les yeux vers le ciel, mais se frappait la poitrine, disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, pécheur ! |
Nouveau Testament Stapfer (1889) | Luc 18.13 (STA) | Quant au publicain, il se tenait à distance, il n’osait pas même lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine en disant : « Dieu, aie pitié de moi qui suis un pécheur ! » |
Glaire et Vigouroux (1902) | Luc 18.13 (VIG) | Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine, en disant : O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur. |
Fillion (1904) | Luc 18.13 (FIL) | Et le publicain, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au Ciel; mais il frappait sa poitrine, en disant: O Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur. |
Nouveau Testament et Psaumes Synodale (1921) | Luc 18.13 (SYN) | Le péager, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Ô Dieu, sois apaisé envers moi, qui suis un pécheur ! |
Auguste Crampon (1923) | Luc 18.13 (CRA) | Le publicain, se tenant à distance, ne voulait pas même lever les yeux au ciel ; mais il frappait sa poitrine en disant : Ô Dieu, ayez pitié de moi qui suis un pécheur ! |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Luc 18.13 (BPC) | Quant au publicain, restant à distance, il n’osait même pas lever les yeux vers le ciel, mais il se frappait la poitrine, en disant : Aie pitié du pécheur que je suis. |
Amiot & Tamisier (1950) | Luc 18.13 (AMI) | Le publicain, au contraire, se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : Mon Dieu, ayez pitié de moi, qui suis un pécheur. |
Langues étrangères | ||
Vulgate (1592) | Luc 18.13 (VUL) | et publicanus a longe stans nolebat nec oculos ad caelum levare sed percutiebat pectus suum dicens Deus propitius esto mihi peccatori |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Luc 18.13 (SWA) | Lakini yule mtoza ushuru alisimama mbali, wala hakuthubutu hata kuinua macho yake mbinguni, bali alijipiga-piga kifua akisema, Ee Mungu, uniwie radhi mimi mwenye dhambi. |
SBL Greek New Testament (2010) | Luc 18.13 (SBLGNT) | ⸂ὁ δὲ⸃ τελώνης μακρόθεν ἑστὼς οὐκ ἤθελεν οὐδὲ τοὺς ὀφθαλμοὺς ⸂ἐπᾶραι εἰς τὸν οὐρανόν⸃, ἀλλ’ ⸀ἔτυπτε τὸ στῆθος ⸀αὐτοῦ λέγων· Ὁ θεός, ἱλάσθητί μοι τῷ ἁμαρτωλῷ. |