Galates 3.17 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Galates 3.17 (LSG) | Voici ce que j’entends : une disposition, que Dieu a confirmée antérieurement, ne peut pas être annulée, et ainsi la promesse rendue vaine, par la loi survenue quatre cents trente ans plus tard. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Galates 3.17 (NEG) | Voici ce que je veux dire : un testament, que Dieu a confirmé antérieurement, ne peut pas être annulé, et ainsi la promesse rendue sans effet, par la loi survenue quatre cent trente ans plus tard. |
Segond 21 (2007) | Galates 3.17 (S21) | Voici ce que je veux dire : un testament que Dieu a établi, la loi survenue 430 ans plus tard ne peut l’annuler et rendre ainsi la promesse sans effet. |
Louis Segond + Strong | Galates 3.17 (LSGSN) | Voici ce que j’entends : une disposition , que Dieu a confirmée antérieurement , ne peut pas être annulée , et ainsi la promesse rendue vaine , par la loi survenue quatre cent trente ans plus tard. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Galates 3.17 (BAN) | Voici donc ce que je dis : Qu’un testament antérieurement ratifié par Dieu, la loi, qui est venue quatre cent trente ans après, ne l’annule pas de manière à anéantir la promesse. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Galates 3.17 (SAC) | Ce que je veux donc dire est, que Dieu ayant fait un testament en bonne forme en faveur de Jésus-Christ, la loi qui n’a été donnée que quatre cent trente ans après, n’a pu le rendre nul, ni en abroger la promesse. |
David Martin (1744) | Galates 3.17 (MAR) | Voici donc ce que je dis : c’est que quant à l’alliance qui a été auparavant confirmée par Dieu en Christ, la Loi qui est venue quatre cent-trente ans après, ne peut point l’annuler, pour abolir la promesse. |
Ostervald (1811) | Galates 3.17 (OST) | Voici donc ce que je dis : Quant au contrat que Dieu a auparavant confirmé en Christ, la loi, qui n’est venue que quatre cent trente ans après, n’a pu l’annuler, pour abolir la promesse. |
Grande Bible de Tours (1866) | Galates 3.17 (GBT) | Voici donc ce que je dis : Il y avait une alliance confirmée de Dieu ; la loi, qui n’a été donnée que quatre cent trente ans après, n’a pu la rendre nulle, ni anéantir la promesse. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Galates 3.17 (PGR) | Or, voici ce que je dis : une convention que Dieu a antérieurement sanctionnée, la loi, survenue quatre cent trente ans plus tard, ne l’abroge pas de manière que la promesse soit mise à néant ; |
Lausanne (1872) | Galates 3.17 (LAU) | Voici donc ce que je dis : Un testament ayant été précédemment ratifié de Dieu en vue du Christ, la loi, venue quatre cent trente ans après, ne l’annule pas de manière à rendre impuissante la promesse. |
Nouveau Testament Oltramare (1874) | Galates 3.17 (OLT) | — eh bien! j’affirme que la Loi, qui est venue quatre cents ans après, ne peut casser un engagement antérieur que Dieu a pris en bonne forme, et annuler la promesse; |
Darby (1885) | Galates 3.17 (DBY) | Or je dis ceci : que la loi, qui est survenue quatre cent trente ans après, n’annule point une alliance antérieurement confirmée par Dieu, de manière à rendre la promesse sans effet. |
Nouveau Testament Stapfer (1889) | Galates 3.17 (STA) | Eh bien, je dis ceci : Dieu ayant passé un contrat en bonne forme, la Loi venue quatre cent trente ans plus tard, ne peut le casser ; elle ne peut annuler la promesse. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Galates 3.17 (VIG) | Voici ce que je veux dire : Dieu ayant conclu une alliance en bonne forme, la loi, qui a été donnée quatre cent trente ans après, n’a pu la rendre nulle, ni abroger la promesse. |
Fillion (1904) | Galates 3.17 (FIL) | Voici ce que je veux dire: Dieu ayant conclu une alliance en bonne forme, la loi, qui a été donnée quatre cent trente ans après, n’a pu la rendre nulle, ni abroger la promesse. |
Nouveau Testament et Psaumes Synodale (1921) | Galates 3.17 (SYN) | Je dis donc : Une alliance, que Dieu a auparavant conclue en bonne forme, n’a pu être annulée, ni la promesse abolie par la loi, qui n’est venue que quatre cent trente ans après. |
Auguste Crampon (1923) | Galates 3.17 (CRA) | Voici ce que je veux dire : Dieu ayant conclu une alliance en bonne forme, la loi qui est venue quatre cent trente ans après ne la rend pas nulle, de manière à rendre vaine la promesse. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Galates 3.17 (BPC) | Je dis donc qu’une disposition testamentaire déjà prise en bonne et due forme par Dieu, la Loi survenue quatre cent trente ans après ne saurait l’abroger, de manière à abolir la promesse. |
Amiot & Tamisier (1950) | Galates 3.17 (AMI) | Je raisonne donc ainsi : Dieu ayant déjà pris une disposition en bonne et due forme, la Loi, venue quatre cent trente ans plus tard, ne saurait l’annuler de manière à abolir la promesse. |
Langues étrangères | ||
Vulgate (1592) | Galates 3.17 (VUL) | hoc autem dico testamentum confirmatum a Deo quae post quadringentos et triginta annos facta est lex non irritam facit ad evacuandam promissionem |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Galates 3.17 (SWA) | Nisemalo ni hili; agano lililothibitishwa kwanza na Mungu, torati iliyotokea miaka mia nne na thelathini baadaye hailitangui, hata kuibatilisha ile ahadi. |
SBL Greek New Testament (2010) | Galates 3.17 (SBLGNT) | τοῦτο δὲ λέγω· διαθήκην προκεκυρωμένην ὑπὸ τοῦ ⸀θεοῦ ὁ μετὰ ⸂τετρακόσια καὶ τριάκοντα ἔτη⸃ γεγονὼς νόμος οὐκ ἀκυροῖ, εἰς τὸ καταργῆσαι τὴν ἐπαγγελίαν. |