Genèse 3.6 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Genèse 3.6 (LSG) | La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Genèse 3.6 (NEG) | La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea. |
Segond 21 (2007) | Genèse 3.6 (S21) | La femme vit que l’arbre était porteur de fruits bons à manger, agréable à regarder et précieux pour ouvrir l’intelligence. Elle prit de son fruit et en mangea. Elle en donna aussi à son mari qui était avec elle et il en mangea. |
Louis Segond + Strong | Genèse 3.6 (LSGSN) | La femme vit que l’arbre était bon à manger et agréable à la vue, et qu’il était précieux pour ouvrir l’intelligence ; elle prit de son fruit, et en mangea ; elle en donna aussi à son mari, qui était auprès d’elle, et il en mangea . |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Genèse 3.6 (BAN) | Et la femme vit que l’arbre était bon à manger et qu’il était agréable aux yeux et que l’arbre était désirable pour devenir intelligent ; et elle prit de son fruit et en mangea, et elle en donna aussi à son mari qui était avec elle, et il en mangea. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Genèse 3.6 (SAC) | La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à manger ; qu’il était beau et agréable à la vue. Et en ayant pris, elle en mangea, et en donna à son mari, qui en mangea aussi. |
David Martin (1744) | Genèse 3.6 (MAR) | La femme donc voyant que [le fruit] de l’arbre était bon à manger, et qu’il était agréable à la vue, et que [cet] arbre était désirable pour donner de la science, en prit du fruit, et en mangea, et elle en donna aussi à son mari [qui était] avec elle, et il en mangea. |
Ostervald (1811) | Genèse 3.6 (OST) | Et la femme vit que le fruit de l’arbre était bon à manger, et qu’il était agréable à la vue, et que l’arbre était désirable pour devenir intelligent ; et elle prit de son fruit et en mangea, et en donna aussi à son mari auprès d’elle, et il en mangea. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Genèse 3.6 (CAH) | La femme vit que l’arbre était bon à manger, qu’il était agréable aux yeux et propre à rendre intelligent, elle prit du fruit et en mangea, et en donna aussi à son mari, qui en mangea également. |
Grande Bible de Tours (1866) | Genèse 3.6 (GBT) | La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à manger, qu’il était beau et agréable à la vue. Elle en prit, en mangea et en donna à son mari, qui en mangea également. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Genèse 3.6 (PGR) | Et la femme vit que l’arbre était bon à manger et qu’il avait des appas pour les yeux et qu’il était délicieux à contempler ; puis elle prit de son fruit, et en mangea et en donna aussi à son mari qui en mangea. |
Lausanne (1872) | Genèse 3.6 (LAU) | Et la femme, voyant que [le fruit de] l’arbre était bon à manger, et qu’il était [un objet de] convoitise aux yeux, et que l’arbre était désirable pour rendre sage, en prit du fruit et en mangea, et en donna aussi à son mari [qui était] avec elle ; et il en mangea. |
Darby (1885) | Genèse 3.6 (DBY) | Et la femme vit que l’arbre était bon à manger, et qu’il était un plaisir pour les yeux, et que l’arbre était désirable pour rendre intelligent ; et elle prit de son fruit et en mangea ; et elle en donna aussi à son mari pour qu’il en mangeât avec elle, et il en mangea. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Genèse 3.6 (TAN) | La femme jugea que l’arbre était bon comme nourriture, qu’il était attrayant à la vue et précieux pour l’intelligence ; elle cueillit de son fruit et en mangea ; puis en donna à son époux, et il mangea. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Genèse 3.6 (VIG) | La femme considéra (vit) donc que le fruit de cet arbre était bon à manger, qu’il était beau à la vue, et agréable à contempler (d’un aspect qui excitait le désir). Et en ayant pris, elle en mangea, et elle en donna à son mari, qui en mangea aussi. |
Fillion (1904) | Genèse 3.6 (FIL) | La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à manger, qu’il était beau à la vue, et agréable à contempler. Et en ayant pris, elle en mangea, et elle en donna à son mari, qui en mangea aussi. |
Auguste Crampon (1923) | Genèse 3.6 (CRA) | La femme vit que le fruit de l’arbre était bon à manger, agréable à la vue et désirable pour acquérir l’intelligence ; elle prit de son fruit et en mangea ; elle en donna aussi à son mari qui était avec elle, et il en mangea. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Genèse 3.6 (BPC) | Alors la femme vit que le fruit de l’arbre était bon à manger, agréable aux yeux et désirable pour acquérir l’intelligence ; elle prit de son fruit et mangea, elle en donna aussi à son mari avec elle et ils mangèrent. |
Amiot & Tamisier (1950) | Genèse 3.6 (AMI) | La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à manger ; qu’il était beau et agréable à la vue, précieux pour ouvrir l’intelligence. Et en ayant pris, elle en mangea, et en donna à son mari, qui en mangea aussi. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Genèse 3.6 (LXX) | καὶ εἶδεν ἡ γυνὴ ὅτι καλὸν τὸ ξύλον εἰς βρῶσιν καὶ ὅτι ἀρεστὸν τοῖς ὀφθαλμοῖς ἰδεῖν καὶ ὡραῖόν ἐστιν τοῦ κατανοῆσαι καὶ λαβοῦσα τοῦ καρποῦ αὐτοῦ ἔφαγεν καὶ ἔδωκεν καὶ τῷ ἀνδρὶ αὐτῆς μετ’ αὐτῆς καὶ ἔφαγον. |
Vulgate (1592) | Genèse 3.6 (VUL) | vidit igitur mulier quod bonum esset lignum ad vescendum et pulchrum oculis aspectuque delectabile et tulit de fructu illius et comedit deditque viro suo qui comedit |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Genèse 3.6 (SWA) | Mwanamke alipoona ya kuwa ule mti wafaa kwa chakula, wapendeza macho, nao ni mti wa kutamanika kwa maarifa, basi alitwaa katika matunda yake akala, akampa na mumewe, naye akala. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Genèse 3.6 (BHS) | וַתֵּ֣רֶא הָֽאִשָּׁ֡ה כִּ֣י טֹוב֩ הָעֵ֨ץ לְמַאֲכָ֜ל וְכִ֧י תַֽאֲוָה־ה֣וּא לָעֵינַ֗יִם וְנֶחְמָ֤ד הָעֵץ֙ לְהַשְׂכִּ֔יל וַתִּקַּ֥ח מִפִּרְיֹ֖ו וַתֹּאכַ֑ל וַתִּתֵּ֧ן גַּם־לְאִישָׁ֛הּ עִמָּ֖הּ וַיֹּאכַֽל׃ |