2 Samuel 12.18 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | 2 Samuel 12.18 (LSG) | Le septième jour, l’enfant mourut. Les serviteurs de David craignaient de lui annoncer que l’enfant était mort. Car ils disaient : Voici, lorsque l’enfant vivait encore, nous lui avons parlé, et il ne nous a pas écoutés ; comment oserons-nous lui dire : L’enfant est mort ? Il s’affligera bien davantage. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | 2 Samuel 12.18 (NEG) | Le septième jour, l’enfant mourut. Les serviteurs de David craignaient de lui annoncer que l’enfant était mort. Car ils disaient : Voici, lorsque l’enfant vivait encore, nous lui avons parlé, et il ne nous a pas écoutés ; comment oserons-nous lui dire : L’enfant est mort ? Il s’affligera bien davantage. |
Segond 21 (2007) | 2 Samuel 12.18 (S21) | Le septième jour, l’enfant mourut. Les serviteurs de David avaient peur de lui annoncer que l’enfant était mort, car ils se disaient : « Lorsque l’enfant était encore vivant, nous lui avons parlé et il ne nous a pas écoutés. Comment oserons-nous lui dire que l’enfant est mort ? Il réagira mal. » |
Louis Segond + Strong | 2 Samuel 12.18 (LSGSN) | Le septième jour, l’enfant mourut . Les serviteurs de David craignaient de lui annoncer que l’enfant était mort . Car ils disaient : Voici, lorsque l’enfant vivait encore, nous lui avons parlé , et il ne nous a pas écoutés ; comment oserons-nous lui dire : L’enfant est mort ? Il s’affligera bien davantage. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | 2 Samuel 12.18 (BAN) | Et le septième jour l’enfant mourut ; et les serviteurs de David craignirent de lui annoncer que l’enfant était mort, car ils disaient : Voici, lorsque l’enfant vivait encore, nous lui avons parlé, et il ne nous a pas écoutés ; comment pourrions-nous lui dire : L’enfant est mort ? Il fera pis encore. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | 2 Samuel 12.18 (SAC) | Le septième jour l’enfant mourut, et les serviteurs de David n’osaient lui dire qu’il était mort ; car ils s’entre-disaient : Lorsque l’enfant vivait encore et que nous lui parlions, il ne voulait pas nous écouter : combien donc s’affligera-t-il encore davantage, si nous lui disons qu’il est mort ? |
David Martin (1744) | 2 Samuel 12.18 (MAR) | Et il arriva que l’enfant mourut le septième jour, et les serviteurs de David craignaient de lui [apprendre] que l’enfant était mort ; car ils disaient : Voici, quand l’enfant était en vie, nous lui avons parlé, et il n’a point voulu écouter notre voix ; comment donc lui dirions-nous que l’enfant est mort, afin qu’il s’afflige davantage ? |
Ostervald (1811) | 2 Samuel 12.18 (OST) | Et le septième jour l’enfant mourut, et les serviteurs de David craignaient de lui faire savoir que l’enfant était mort ; car ils disaient : Quand l’enfant était en vie, nous lui avons parlé, et il n’a point écouté notre voix ; comment donc lui dirions-nous que l’enfant est mort ? Il ferait bien pis encore. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | 2 Samuel 12.18 (CAH) | Ce fut le septième jour que l’enfant mourut. Les serviteurs de David craignaient de lui dire que l’enfant était mort, car ils dirent : Puisque, alors que l’enfant vivait, nous lui avons parlé, et il n’a point écouté notre voix, comment dirions-nous : L’enfant est mort ? Il pourrait commettre un malheur ! |
Grande Bible de Tours (1866) | 2 Samuel 12.18 (GBT) | Or il arriva le septième jour que l’enfant mourut ; et les serviteurs de David craignaient de lui annoncer qu’il était mort ; car ils disaient : Lorsque l’enfant vivait encore, nous lui parlions, et il n’écoutait pas notre voix ; combien plus s’affligera-t-il, si nous lui disons : L’enfant est mort ! |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | 2 Samuel 12.18 (PGR) | Et le septième jour l’enfant vint à mourir, et les serviteurs de David redoutaient de lui annoncer la mort de l’enfant, car ils disaient : Voici, lorsque l’enfant était encore en vie, nous lui parlions et il n’entendait pas notre voix : comment lui dirions-nous : L’enfant est mort ! ? il fera bien pis. |
Lausanne (1872) | 2 Samuel 12.18 (LAU) | Et il arriva, le septième jour, que l’enfant mourut, et les esclaves de David craignirent de lui annoncer que l’enfant était mort ; car ils disaient : Voici, pendant que l’enfant était en vie, nous lui avons parlé, et il n’a pas écouté notre voix ; comment lui dirions-nous : L’enfant est mort ? il fera quelque mauvaise chose ! |
Darby (1885) | 2 Samuel 12.18 (DBY) | Et il arriva, le septième jour, que l’enfant mourut ; et les serviteurs de David craignirent de lui apprendre que l’enfant était mort, car ils disaient : Voici, lorsque l’enfant était en vie, nous lui avons parlé, et il n’a pas écouté notre voix ; et comment lui dirions-nous : L’enfant est-il mort ? Il fera quelque mal. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | 2 Samuel 12.18 (TAN) | Or, le septième jour, l’enfant mourut. Les serviteurs de David n’osèrent lui annoncer cette mort, car ils se disaient : "Certes, quand l’enfant vivait, nous avons parlé au roi et il ne nous a point écoutés, et comment lui dirions-nous que l’enfant est mort ? Il ferait un malheur." |
Glaire et Vigouroux (1902) | 2 Samuel 12.18 (VIG) | (Or) Le septième jour l’enfant mourut, et les serviteurs de David n’osaient lui dire qu’il était mort ; car ils s’entredisaient : Lorsque l’enfant vivait encore, et que nous lui parlions, il ne voulait pas nous écouter ; combien s’affligera-t-il davantage encore, si nous lui disons qu’il est mort ? |
Fillion (1904) | 2 Samuel 12.18 (FIL) | Le septième jour l’enfant mourut, et les serviteurs de David n’osaient lui dire qu’il était mort; car ils s’entredisaient : Lorsque l’enfant vivait encore, et que nous lui parlions, il ne voulait pas nous écouter; combien s’affligera-t-il davantage encore, si nous lui disons qu’il est mort? |
Auguste Crampon (1923) | 2 Samuel 12.18 (CRA) | Le septième jour, l’enfant mourut. Les serviteurs de David craignaient de lui annoncer que l’enfant était mort, car ils disaient : « Lorsque l’enfant vivait encore, nous lui avons parlé, et il n’a pas écouté notre voix ; comment lui dirons-nous : L’enfant est mort ? Il fera pis encore. » |
Bible Pirot-Clamer (1949) | 2 Samuel 12.18 (BPC) | Le septième jour, l’enfant mourut. Les serviteurs de David craignaient de lui annoncer que l’enfant était mort, car ils disaient : “Lorsque l’enfant vivait encore, nous lui avons parlé et il n’a pas écouté notre voix ; comment lui dirons-nous : l’enfant est mort ? Il en serait trop affligé.” |
Amiot & Tamisier (1950) | 2 Samuel 12.18 (AMI) | Le septième jour, l’enfant mourut, et les serviteurs de David n’osaient lui dire qu’il était mort ; car ils s’entre-disaient : Lorsque l’enfant vivait encore et que nous lui parlions, il ne voulait pas nous écouter ; combien donc s’affligera-t-il encore davantage, si nous lui disons qu’il est mort ? |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | 2 Samuel 12.18 (LXX) | καὶ ἐγένετο ἐν τῇ ἡμέρᾳ τῇ ἑβδόμῃ καὶ ἀπέθανε τὸ παιδάριον καὶ ἐφοβήθησαν οἱ δοῦλοι Δαυιδ ἀναγγεῖλαι αὐτῷ ὅτι τέθνηκεν τὸ παιδάριον ὅτι εἶπαν ἰδοὺ ἐν τῷ ἔτι τὸ παιδάριον ζῆν ἐλαλήσαμεν πρὸς αὐτόν καὶ οὐκ εἰσήκουσεν τῆς φωνῆς ἡμῶν καὶ πῶς εἴπωμεν πρὸς αὐτὸν ὅτι τέθνηκεν τὸ παιδάριον καὶ ποιήσει κακά. |
Vulgate (1592) | 2 Samuel 12.18 (VUL) | accidit autem die septima ut moreretur infans timueruntque servi David nuntiare ei quod mortuus esset parvulus dixerunt enim ecce cum parvulus adhuc viveret loquebamur ad eum et non audiebat vocem nostram quanto magis si dixerimus mortuus est puer se adfliget |
Bible en Swahili de l’est (1868) | 2 Samuel 12.18 (SWA) | Ikawa siku ya saba, yule mtoto akafa. Nao watumishi wa Daudi wakaogopa kumwambia ya kuwa mtoto amekufa, maana, walisema, Angalieni, yule mtoto alipokuwa angali hai, tulisema naye, asitusikilize sauti zetu; basi hatazidi kujisumbua, tukimwambia ya kuwa mtoto amekufa? |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | 2 Samuel 12.18 (BHS) | וַיְהִ֛י בַּיֹּ֥ום הַשְּׁבִיעִ֖י וַיָּ֣מָת הַיָּ֑לֶד וַיִּֽרְאוּ֩ עַבְדֵ֨י דָוִ֜ד לְהַגִּ֥יד לֹ֣ו׀ כִּי־מֵ֣ת הַיֶּ֗לֶד כִּ֤י אָֽמְרוּ֙ הִנֵּה֩ בִהְיֹ֨ות הַיֶּ֜לֶד חַ֗י דִּבַּ֤רְנוּ אֵלָיו֙ וְלֹא־שָׁמַ֣ע בְּקֹולֵ֔נוּ וְאֵ֨יךְ נֹאמַ֥ר אֵלָ֛יו מֵ֥ת הַיֶּ֖לֶד וְעָשָׂ֥ה רָעָֽה׃ |