2 Samuel 14.14 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
| Louis Segond 1910 (1910) | 2 Samuel 14.14 (LSG) | Il nous faut certainement mourir, et nous serons comme des eaux répandues à terre et qui ne se rassemblent plus ; Dieu n’ôte pas la vie, mais il désire que le fugitif ne reste pas banni de sa présence. |
| Nouvelle édition de Genève (1979) | 2 Samuel 14.14 (NEG) | Il nous faut certainement mourir, et nous serons comme des eaux répandues à terre et qui ne se rassemblent plus ; Dieu n’ôte pas la vie, mais il désire que le fugitif ne reste pas banni de sa présence. |
| Segond 21 (2007) | 2 Samuel 14.14 (S21) | Il nous faudra tous mourir, et nous serons pareils à de l’eau versée par terre et qui ne se rassemble plus. Dieu ne relève pas un mort, mais il désire que le fugitif ne reste pas exclu de sa présence. |
| Louis Segond + Strong | 2 Samuel 14.14 (LSGSN) | Il nous faut certainement mourir , et nous serons comme des eaux répandues à terre et qui ne se rassemblent plus ; Dieu n’ôte pas la vie , mais il désire que le fugitif ne reste pas banni de sa présence. |
Les Bibles d'étude | ||
| Bible Annotée (1899) | 2 Samuel 14.14 (BAN) | Car nous mourrons certainement, nous sommes comme l’eau qui est versée à terre et qu’on ne peut pas ramasser ; Dieu laisse la vie et son dessein est de ne pas tenir loin de lui l’exilé. |
Les « autres versions » | ||
| Lemaîtstre de Sacy (1701) | 2 Samuel 14.14 (SAC) | Nous mourons tous, et nous nous écoulons sur la terre comme des eaux qui ne reviennent plus : et Dieu ne veut pas qu’une âme périsse ; mais il diffère l’exécution de son arrêt, de peur que celui qui a été rejeté ne se perde entièrement. |
| David Martin (1744) | 2 Samuel 14.14 (MAR) | Car certainement nous mourrons, et nous sommes semblables aux eaux qui s’écoulent sur la terre, lesquelles on ne ramasse point. Or Dieu ne lui a point ôté la vie, mais il a trouvé un moyen pour ne rejeter point loin de lui celui qui a été rejeté. |
| Ostervald (1811) | 2 Samuel 14.14 (OST) | Car certainement nous mourrons, et nous sommes semblables aux eaux qui s’écoulent sur la terre et qu’on ne recueille point. Or Dieu ne lui ôte pas la vie, mais il médite les moyens de ne pas repousser loin de lui l’exilé. |
| Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | 2 Samuel 14.14 (CAH) | Car certes, nous mourrons, et (nous serons) comme les eaux qui s’écoulent sur la terre, que nul ne recueille ; Dieu ne prend pas la vie, mais il agit avec la pensée de ne pas rejeter celui qui a été rejeté. |
| Grande Bible de Tours (1866) | 2 Samuel 14.14 (GBT) | Nous mourons tous, et nous nous écoulons sur la terre comme des eaux qui ne reviennent plus, et Dieu ne veut pas qu’une âme périsse ; mais il diffère l’exécution de son arrêt, de peur que celui qui a été rejeté ne périsse entièrement. |
| Perret-Gentil et Rilliet (1869) | 2 Samuel 14.14 (PGR) | Car il nous faut mourir tous, et nous devenons comme une eau épanchée sur la terre et qui ne se recueille plus ; et Dieu ne se presse pas d’ôter une vie, mais Sa pensée constante est de ne pas repousser loin de Lui celui qui s’est banni. |
| Lausanne (1872) | 2 Samuel 14.14 (LAU) | Car nous mourrons certainement : nous sommes comme l’eau répandue à terre qu’on ne recueille pas ; et Dieu n’enlève pas une âme, mais il médite les moyens{Héb. il pense des pensées.} de ne pas repousser loin de lui l’exilé ! |
| Darby (1885) | 2 Samuel 14.14 (DBY) | Car nous mourrons certainement, et nous sommes comme de l’eau versée sur le terre, qu’on ne peut recueillir. Et Dieu ne lui a point ôté la vie, mais il a la pensée que celui qui est chassé ne demeure plus chassé loin de lui. |
| La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | 2 Samuel 14.14 (TAN) | Car enfin nous sommes mortels, semblables à l’eau répandue à terre et qu’on ne peut recueillir ; mais Dieu n’enlève pas la vie, et il combine ses desseins en vue de ne pas repousser à jamais celui qui est banni de sa présence. |
| Glaire et Vigouroux (1902) | 2 Samuel 14.14 (VIG) | Nous mourons tous, et nous nous écoulons sur la terre comme des eaux qui ne reviennent plus ; et Dieu ne veut pas qu’une âme périsse, mais il diffère l’exécution de son arrêt, de peur que celui qui a été rejeté ne se perde entièrement. |
| Fillion (1904) | 2 Samuel 14.14 (FIL) | Nous mourons tous, et nous nous écoulons sur la terre comme des eaux qui ne reviennent plus; et Dieu ne veut pas qu’une âme périsse, mais Il diffère l’exécution de Son arrêt, de peur que celui qui a été rejeté ne se perde entièrement. |
| Auguste Crampon (1923) | 2 Samuel 14.14 (CRA) | Car nous mourrons certainement ; nous sommes comme les eaux répandues à terre et qui ne se rassemblent plus ; Dieu n’ôte pas la vie, et il forme le dessein que le banni ne reste pas banni de sa présence. |
| Bible Pirot-Clamer (1949) | 2 Samuel 14.14 (BPC) | Nous mourrons tous, et nous sommes comme les eaux répandues à terre qui ne se rassemblent plus, Dieu n’ôte pas la vie et il forme des desseins pour que le fugitif ne reste pas banni loin de lui. |
| Amiot & Tamisier (1950) | 2 Samuel 14.14 (AMI) | Nous mourrons tous, et nous nous écoulons sur la terre comme des eaux qui ne reviennent plus ; et Dieu n’ôte pas la vie, mais il désire que le fugitif ne reste pas banni de sa présence. |
Langues étrangères | ||
| Septante (282) | 2 Samuel 14.14 (LXX) | ὅτι θανάτῳ ἀποθανούμεθα καὶ ὥσπερ τὸ ὕδωρ τὸ καταφερόμενον ἐπὶ τῆς γῆς ὃ οὐ συναχθήσεται καὶ λήμψεται ὁ θεὸς ψυχήν καὶ λογιζόμενος τοῦ ἐξῶσαι ἀπ’ αὐτοῦ ἐξωσμένον. |
| Vulgate (1592) | 2 Samuel 14.14 (VUL) | omnes morimur et quasi aquae delabimur in terram quae non revertuntur nec vult perire Deus animam sed retractat cogitans ne penitus pereat qui abiectus est |
| Bible en Swahili de l’est (1868) | 2 Samuel 14.14 (SWA) | Kwa kuwa hatuna budi kufa, nasi tu kama maji yaliyomwagika chini, yasiyowezekana kuzoleka tena; wala Mungu haondoi maisha ila hufikiri shauri, kwamba yeye aliyefukuzwa asiwe mkimbizi kwake. |
| Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | 2 Samuel 14.14 (BHS) | כִּי־מֹ֣ות נָמ֔וּת וְכַמַּ֨יִם֙ הַנִּגָּרִ֣ים אַ֔רְצָה אֲשֶׁ֖ר לֹ֣א יֵאָסֵ֑פוּ וְלֹֽא־יִשָּׂ֤א אֱלֹהִים֙ נֶ֔פֶשׁ וְחָשַׁב֙ מַֽחֲשָׁבֹ֔ות לְבִלְתִּ֛י יִדַּ֥ח מִמֶּ֖נּוּ נִדָּֽח׃ |