1 Rois 17.17 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | 1 Rois 17.17 (LSG) | Après ces choses, le fils de la femme, maîtresse de la maison, devint malade, et sa maladie fut si violente qu’il ne resta plus en lui de respiration. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | 1 Rois 17.17 (NEG) | Après ces choses, le fils de la femme, maîtresse de la maison, devint malade, et sa maladie fut si violente qu’il ne resta plus en lui de respiration. |
Segond 21 (2007) | 1 Rois 17.17 (S21) | Après ces événements, le fils de cette maîtresse de maison tomba malade. Sa maladie fut si violente qu’il cessa de respirer. |
Louis Segond + Strong | 1 Rois 17.17 (LSGSN) | Après ces choses, le fils de la femme, maîtresse de la maison, devint malade , et sa maladie fut si violente qu’il ne resta plus en lui de respiration. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | 1 Rois 17.17 (BAN) | Et il arriva, après ces choses, que le fils de la femme, maîtresse de la maison, tomba malade, et sa maladie s’aggrava tellement qu’il ne resta plus de souffle en lui. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | 1 Rois 17.17 (SAC) | Il arriva ensuite que le fils de cette femme, mère de famille, devint malade d’une maladie si violente, qu’il rendit enfin le dernier soupir. |
David Martin (1744) | 1 Rois 17.17 (MAR) | Après ces choses il arriva que le fils de la femme, maîtresse de la maison, devint malade ; et la maladie fut si forte, qu’il expira. |
Ostervald (1811) | 1 Rois 17.17 (OST) | Après ces choses, il arriva que le fils de la maîtresse de la maison tomba malade ; et la maladie s’aggrava tellement qu’il ne resta plus de souffle en lui. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | 1 Rois 17.17 (CAH) | Il arriva après ces choses que le fils de la femme, maîtresse de la maison, devint malade, et sa maladie fut si forte qu’il ne resta plus en lui de respiration. |
Grande Bible de Tours (1866) | 1 Rois 17.17 (GBT) | Il arriva ensuite que le fils de cette femme, mère de famille, tomba malade d’une maladie si violente, qu’il rendit bientôt le dernier soupir. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | 1 Rois 17.17 (PGR) | Et sur ces entrefaites, le fils de la femme, maîtresse de la maison, tomba malade, et sa maladie était très intense, au point qu’il ne lui restait plus un souffle de vie. |
Lausanne (1872) | 1 Rois 17.17 (LAU) | Et il arriva, après ces choses, que le fils de la femme, maîtresse de la maison, fut malade ; et sa maladie devint très forte, jusque-là qu’il ne resta plus en lui de respiration. |
Darby (1885) | 1 Rois 17.17 (DBY) | Et il arriva, après ces choses, que le fils de la femme, maîtresse de la maison, tomba malade ; et sa maladie devint très-forte, de sorte qu’il ne resta plus de souffle en lui. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | 1 Rois 17.17 (TAN) | Quelque temps après, le fils de cette femme, de la maîtresse du logis, tomba malade, et sa maladie s’aggrava au point qu’il ne lui resta plus de souffle. |
Glaire et Vigouroux (1902) | 1 Rois 17.17 (VIG) | (Or) Il arriva ensuite que le fils de cette femme mère de famille devint malade, et sa maladie fut si violente qu’il ne resta plus en lui de respiration. |
Fillion (1904) | 1 Rois 17.17 (FIL) | Il arriva ensuite que le fils de cette femme mère de famille devint malade, et sa maladie fut si violente qu’il ne resta plus en lui de respiration. |
Auguste Crampon (1923) | 1 Rois 17.17 (CRA) | Après ces événements, le fils de la femme, maîtresse de la maison, devint malade, et sa maladie fut très violente, au point qu’il ne resta plus de souffle en lui. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | 1 Rois 17.17 (BPC) | Il arriva dans la suite que le fils de cette femme, maîtresse de la maison, tomba malade, et son mal s’aggrava beaucoup au point qu’il ne lui restait plus de souffle. |
Amiot & Tamisier (1950) | 1 Rois 17.17 (AMI) | Il arriva ensuite que le fils de cette femme, mère de famille, devint malade d’une maladie si violente, qu’il rendit enfin le dernier soupir. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | 1 Rois 17.17 (LXX) | καὶ ἐγένετο μετὰ ταῦτα καὶ ἠρρώστησεν ὁ υἱὸς τῆς γυναικὸς τῆς κυρίας τοῦ οἴκου καὶ ἦν ἡ ἀρρωστία αὐτοῦ κραταιὰ σφόδρα ἕως οὗ οὐχ ὑπελείφθη ἐν αὐτῷ πνεῦμα. |
Vulgate (1592) | 1 Rois 17.17 (VUL) | factum est autem post verba haec aegrotavit filius mulieris matris familiae et erat languor fortis nimis ita ut non remaneret in eo halitus |
Bible en Swahili de l’est (1868) | 1 Rois 17.17 (SWA) | Ikawa, baada ya hayo, mwana wake yule mwanamke, bibi wa nyumba ile, akaugua; ugonjwa wake ukazidi hata akawa hana pumzi tena. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | 1 Rois 17.17 (BHS) | וַיְהִ֗י אַחַר֙ הַדְּבָרִ֣ים הָאֵ֔לֶּה חָלָ֕ה בֶּן־הָאִשָּׁ֖ה בַּעֲלַ֣ת הַבָּ֑יִת וַיְהִ֤י חָלְיֹו֙ חָזָ֣ק מְאֹ֔ד עַ֛ד אֲשֶׁ֥ר לֹא־נֹֽותְרָה־בֹּ֖ו נְשָׁמָֽה׃ |