Psaumes 90.5 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Psaumes 90.5 (LSG) | Tu les emportes, semblables à un songe, Qui, le matin, passe comme l’herbe : |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Psaumes 90.5 (NEG) | Tu les emportes, semblables à un songe, Qui, le matin, passe comme l’herbe : |
Segond 21 (2007) | Psaumes 90.5 (S21) | Tu les emportes, semblables à un rêve qui, le matin, passe comme l’herbe : |
Louis Segond + Strong | Psaumes 90.5 (LSGSN) | Tu les emportes , Semblables à un songe, Qui, le matin, passe comme l’herbe : |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Psaumes 90.5 (BAN) | Tu les emportes comme par un torrent, ils sont un songe ; Au matin, ils se renouvellent comme l’herbe ; |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Psaumes 90.5 (SAC) | Vous ne craindrez rien de tout ce qui effraye durant la nuit, ni la flèche qui vole durant le jour ; |
David Martin (1744) | Psaumes 90.5 (MAR) | Tu les emportes comme par une ravine d’eau ; ils sont [comme] un songe au matin ; comme une herbe qui se change, |
Ostervald (1811) | Psaumes 90.5 (OST) | Tu les emportes, semblables à un songe ; ils sont au matin comme une herbe qui passe ; |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Psaumes 90.5 (CAH) | Tu répands (les humains) comme un torrent, ils sont comme un sommeil ; au matin, comme l’herbe passagère. |
Grande Bible de Tours (1866) | Psaumes 90.5 (GBT) | Leurs années seront regardées comme un néant. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Psaumes 90.5 (PGR) | Tu les emportes, ils sont un rêve ; le matin, comme l’herbe, l’homme lève ; |
Lausanne (1872) | Psaumes 90.5 (LAU) | Comme un torrent tu les emportes ; ils sont un songe. Au matin, ils se renouvellent comme l’herbe. |
Darby (1885) | Psaumes 90.5 (DBY) | Comme un torrent tu les emportes ; ils sont comme un sommeil, au matin, comme l’herbe qui reverdit : |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Psaumes 90.5 (TAN) | Tu les fais s’écouler, [les hommes], comme un torrent : ils entrent dans le sommeil ; le matin, ils sont comme l’herbe qui pousse, |
Glaire et Vigouroux (1902) | Psaumes 90.5 (VIG) | Sa vérité t’environnera comme un (de son) bouclier ; tu ne craindras pas les frayeurs de la nuit, |
Fillion (1904) | Psaumes 90.5 (FIL) | on les compte pour rien; tel est le cas que l’on fait de leurs années. |
Nouveau Testament et Psaumes Synodale (1921) | Psaumes 90.5 (SYN) | Tu les emportes ; ils sont comme un songe. Ils sont comme une herbe qui naît le matin : |
Auguste Crampon (1923) | Psaumes 90.5 (CRA) | Tu les emportes, semblables à un songe ; le matin, comme l’herbe, ils repoussent : |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Psaumes 90.5 (BPC) | Tu les entraînes, ils ne sont qu’un songe ; - dès l’aurore, ils disparaissent comme l’herbe ; |
Amiot & Tamisier (1950) | Psaumes 90.5 (AMI) | leurs années seront regardées comme un néant. L’homme est le matin comme l’herbe qui passe : |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Psaumes 90.5 (LXX) | οὐ φοβηθήσῃ ἀπὸ φόβου νυκτερινοῦ ἀπὸ βέλους πετομένου ἡμέρας. |
Vulgate (1592) | Psaumes 90.5 (VUL) | scuto circumdabit te veritas eius non timebis a timore nocturno |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Psaumes 90.5 (SWA) | Wawagharikisha, huwa kama usingizi, Asubuhi huwa kama majani yameayo. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Psaumes 90.5 (BHS) | זְ֭רַמְתָּם שֵׁנָ֣ה יִהְי֑וּ בַּ֝בֹּ֗קֶר כֶּחָצִ֥יר יַחֲלֹֽף׃ |