Ecclésiaste 5.10 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Ecclésiaste 5.10 (LSG) | (5.9) Celui qui aime l’argent n’est pas rassasié par l’argent, et celui qui aime les richesses n’en profite pas. C’est encore là une vanité. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Ecclésiaste 5.10 (NEG) | Quand le bien abonde, ceux qui le mangent abondent ; et quel avantage en revient-il à son possesseur, sinon qu’il le voit de ses yeux ? |
Segond 21 (2007) | Ecclésiaste 5.10 (S21) | Quand les biens sont nombreux, ceux qui les mangent le sont aussi, et quel avantage en tire leur possesseur ? Il ne peut que les voir de ses propres yeux ! |
Louis Segond + Strong | Ecclésiaste 5.10 (LSGSN) | Celui qui aime l’argent n’est pas rassasié par l’argent, et celui qui aime les richesses n’en profite pas. C’est encore là une vanité. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Ecclésiaste 5.10 (BAN) | Celui qui aime l’argent n’est jamais rassasié d’argent, et celui qui aime les richesses n’en retire pas de profit. Ceci aussi est une vanité. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Ecclésiaste 5.10 (SAC) | Où il y a beaucoup de bien, il y a aussi beaucoup de personnes pour le manger. De quoi donc sert-il à celui qui le possède, sinon qu’il voit de ses yeux beaucoup de richesses ? |
David Martin (1744) | Ecclésiaste 5.10 (MAR) | Celui qui aime l’argent, n’est point assouvi par l’argent ; et celui qui aime un grand train, n’en est pas nourri ; cela aussi est une vanité. |
Ostervald (1811) | Ecclésiaste 5.10 (OST) | Celui qui aime l’argent n’est point rassasié par l’argent, et celui qui aime un grand train, n’en est pas nourri. Cela aussi est une vanité. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Ecclésiaste 5.10 (CAH) | Où il y a beaucoup de bien, il y en a aussi beaucoup qui le dévorent ; et quel est l’avantage pour ses possesseurs ? (rien) si ce n’est de (le) voir de ses yeux. |
Grande Bible de Tours (1866) | Ecclésiaste 5.10 (GBT) | Où sont de grandes richesses, là est une multitude qui les dévore. Et que revient-il de plus à leur possesseur, que de voir de ses yeux des trésors ? |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Ecclésiaste 5.10 (PGR) | Quand le bien devient plus grand, ceux qui le consomment, deviennent aussi plus nombreux. Et qu’y gagne son possesseur, qu’un spectacle pour ses yeux ? |
Lausanne (1872) | Ecclésiaste 5.10 (LAU) | Quand abonde le bien, ceux qui le mangent abondent ; et quel profit en a celui qui le possède, sinon que ses yeux le voient ? |
Darby (1885) | Ecclésiaste 5.10 (DBY) | Celui qui aime l’argent n’est point rassasié par l’argent, et celui qui aime les richesses ne l’est pas par le revenu. Cela aussi est vanité. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Ecclésiaste 5.10 (TAN) | La fortune augmente-t-elle, ceux qui la dévorent augmentent du même coup. Quel autre avantage y a-t-il pour son possesseur que d’en repaître sa vue ? |
Glaire et Vigouroux (1902) | Ecclésiaste 5.10 (VIG) | Quand le(s) bien(s) abonde(nt), il y a aussi beaucoup de gens pour le(s) manger. De quoi donc sert-il à celui qui le(s) possède(nt), sinon qu’il voit de ses yeux ses richesses ? |
Fillion (1904) | Ecclésiaste 5.10 (FIL) | Quand le bien abonde, il y a aussi beaucoup de gens pour le manger. De quoi donc sert-il à celui qui le possède, sinon qu’il voit de ses yeux ses richesses? |
Auguste Crampon (1923) | Ecclésiaste 5.10 (CRA) | Quand les biens se multiplient, ceux qui les mangent se multiplient aussi ; et quel avantage en revient-il à leurs possesseurs, sinon qu’ils les voient de leurs yeux ? |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Ecclésiaste 5.10 (BPC) | Qui aime l’argent ne se rassasie pas d’argent ; et qui aime les richesses n’en tire aucun profit. Cela aussi n’est que vanité. |
Amiot & Tamisier (1950) | Ecclésiaste 5.10 (AMI) | Où il y a beaucoup de bien, il y a aussi beaucoup de personnes pour le manger. De quoi donc sert-il à celui qui le possède, sinon qu’il voit de ses yeux beaucoup de richesses ? |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Ecclésiaste 5.10 (LXX) | ἐν πλήθει τῆς ἀγαθωσύνης ἐπληθύνθησαν ἔσθοντες αὐτήν καὶ τί ἀνδρεία τῷ παρ’ αὐτῆς ὅτι ἀλλ’ ἢ τοῦ ὁρᾶν ὀφθαλμοῖς αὐτοῦ. |
Vulgate (1592) | Ecclésiaste 5.10 (VUL) | ubi multae sunt opes multi et qui comedant eas et quid prodest possessori nisi quod cernit divitias oculis suis |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Ecclésiaste 5.10 (SWA) | Apendaye fedha hatashiba fedha, Wala apendaye wingi hatashiba maongeo. Hayo pia ni ubatili. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Ecclésiaste 5.10 (BHS) | (5.11) בִּרְבֹות֙ הַטֹּובָ֔ה רַבּ֖וּ אֹוכְלֶ֑יהָ וּמַה־כִּשְׁרֹון֙ לִבְעָלֶ֔יהָ כִּ֖י אִם־רְא֥וּת עֵינָֽיו׃ |