Esaïe 15.5 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Esaïe 15.5 (LSG) | Mon cœur gémit sur Moab, Dont les fugitifs se sauvent jusqu’à Tsoar, Jusqu’à églath Schelischija ; Car ils font, en pleurant, la montée de Luchith, Et ils jettent des cris de détresse sur le chemin de Choronaïm ; |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Esaïe 15.5 (NEG) | Mon cœur gémit sur Moab, Dont les fugitifs se sauvent jusqu’à Tsoar, Jusqu’à Eglath-Schelischija ; Car ils font, en pleurant, la montée de Luchith, Et ils jettent des cris de détresse sur le chemin de Choronaïm ; |
Segond 21 (2007) | Esaïe 15.5 (S21) | Mon cœur pousse des cris pour Moab. Ses fugitifs vont jusqu’à Tsoar, jusqu’à Eglath-Shelishija. Ils gravissent en pleurant la montée de Louhith et ils poussent des cris de détresse sur le chemin de Horonaïm |
Louis Segond + Strong | Esaïe 15.5 (LSGSN) | Mon cœur gémit sur Moab, Dont les fugitifs se sauvent jusqu’à Tsoar, Jusqu’à Eglath-Schelischija ; Car ils font , en pleurant, la montée de Luchith, Et ils jettent des cris de détresse sur le chemin de Choronaïm ; |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Esaïe 15.5 (BAN) | Mon cœur gémit sur Moab ; ses fugitifs sont déjà à Tsoar, à Eglath-Schelischia ; car on monte, en pleurant, la montée de Luchith, et sur le chemin de Horonaïm on pousse des cris de détresse ; |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Esaïe 15.5 (SAC) | Mon cœur poussera des soupirs sur l’affliction de Moab ; ses appuis et les plus vaillants mêmes d’entre eux s’enfuient jusqu’à Ségor, qui crie elle-même aussi fortement qu’une génisse de trois ans : ils montent en pleurant par la colline de Luith, et le cri de leur affliction s’est élevé dans Je chemin d’Oronaïm. |
David Martin (1744) | Esaïe 15.5 (MAR) | Mon cœur crie à cause de Moab ; ses fugitifs s’en sont fuis jusqu’à Tsohar, [comme] une génisse de trois ans ; car on montera par la montée de Luhith avec des pleurs, et on fera retentir le cri de la plaie au chemin de Horonajim. |
Ostervald (1811) | Esaïe 15.5 (OST) | Mon cœur gémit sur Moab, dont les fugitifs courent jusqu’à Tsoar, jusqu’à Églath-Shélishija. Car on monte en pleurant la montée de Luchith ; car on fait retentir le cri de la ruine au chemin de Horonajim. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Esaïe 15.5 (CAH) | Mon cœur se lamente au sujet de Moab ; ses fuyards errent jusqu’à Tsoar, veau de trois ans ; car la montée de Lou’hith on y monte en pleurant, et vers ‘Horonaïme on fait entendre un cri de détresse. |
Grande Bible de Tours (1866) | Esaïe 15.5 (GBT) | Mon cœur gémira sur Moab ; ses défenseurs s’enfuient jusqu’à Ségor, avec la rapidité d’une génisse de trois ans ; ils montent en pleurant par la colline de Luith, et le cri de leur affliction s’est élevé dans le chemin d’Oronaïm. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Esaïe 15.5 (PGR) | Mon cœur gémit sur Moab, dont les fugitifs s’en vont jusqu’à Tsoar, jusqu’à Églath-Schelischia, car on monte en pleurant la pente de Luchith, car le long du chemin de Choronaïm ils élèvent des cris déchirants ; |
Lausanne (1872) | Esaïe 15.5 (LAU) | Mon cœur crie pour Moab ; ses fuyards [vont] jusqu’à Tsohar, [jusqu’à] Eglat-Schelischia{Ou jusqu’à Tsohar, génisse de trois ans.} car la montée de Loukith, on la monte en pleurs ; car au chemin de Horonaïm on pousse un cri de ruine. |
Darby (1885) | Esaïe 15.5 (DBY) | Mon cœur pousse des cris au sujet de Moab ; ses fugitifs vont jusqu’à Tsoar, jusqu’à églath-Shelishija ; car ils montent la montée de Lukhith en pleurant, et sur le chemin de Horonaïm ils élèvent un cri de ruine. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Esaïe 15.5 (TAN) | Mon cœur gémit sur Moab ; ses fugitifs courent jusqu’à Çoar et Eglat-Chelichiya ; ils gravissent en pleurant la montée de Louhit et, sur la route de Horonaïm, font retentir des clameurs de détresse. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Esaïe 15.5 (VIG) | Mon cœur poussera des cris sur Moab ; ses défenseurs vont jusqu’à Segor, génisse de trois ans. On monte en pleurant par la colline de Luith, et on jette(ra) des cris de détresse sur le chemin d’Oronaïm. |
Fillion (1904) | Esaïe 15.5 (FIL) | Mon coeur poussera des cris sur Moab; ses défenseurs vont jusqu’à Segor, génisse de trois ans. On monte en pleurant par la colline de Luith, et on jette des cris de détresse sur le chemin d’Oronaïm. |
Auguste Crampon (1923) | Esaïe 15.5 (CRA) | Mon cœur gémit sur Moab ; ses défenseurs sont déjà à Ségor, à Eglath-Schelischiah. Oui, la montée de Luhith, on la gravit en pleurant ; et sur le chemin de Horonaïm, on pousse des cris de détresse. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Esaïe 15.5 (BPC) | Le cœur de Moab pousse des cris ; - déjà ses fugitifs sont à Soar, à Eglath-Sélisia. Oui, la montée de Luhith, on la monte en pleurant ; - oui, la route de Horonaïm, on y pousse des cris de détresse. |
Amiot & Tamisier (1950) | Esaïe 15.5 (AMI) | Mon cœur poussera des soupirs sur l’affliction de Moab ; ses appuis et les plus vaillants mêmes d’entre eux s’enfuient jusqu’à Ségor, qui crie elle-même aussi fortement qu’une génisse de trois ans ; ils montent en pleurant par la colline de Luith, et le cri de leur affliction s’est élevé dans le chemin d’Horonaïm. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Esaïe 15.5 (LXX) | ἡ καρδία τῆς Μωαβίτιδος βοᾷ ἐν αὐτῇ ἕως Σηγωρ δάμαλις γάρ ἐστιν τριετής ἐπὶ δὲ τῆς ἀναβάσεως τῆς Λουιθ πρὸς σὲ κλαίοντες ἀναβήσονται τῇ ὁδῷ Αρωνιιμ βοᾷ σύντριμμα καὶ σεισμός. |
Vulgate (1592) | Esaïe 15.5 (VUL) | cor meum ad Moab clamabit vectes eius usque ad Segor vitulam conternantem per ascensum enim Luith flens ascendet et in via Oronaim clamorem contritionis levabunt |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Esaïe 15.5 (SWA) | Moyo wangu unamlilia Moabu; wakuu wake wanakimbilia Soari kama ndama wa miaka mitatu; kwa maana wanapanda mbavu za Luhithi wakilia; maana katika njia iendayo hata Horonaimu wanapaliza sauti ya kukata tamaa. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Esaïe 15.5 (BHS) | לִבִּי֙ לְמֹואָ֣ב יִזְעָ֔ק בְּרִיחֶ֕הָ עַד־צֹ֖עַר עֶגְלַ֣ת שְׁלִשִׁיָּ֑ה כִּ֣י׀ מַעֲלֵ֣ה הַלּוּחִ֗ית בִּבְכִי֙ יַֽעֲלֶה־בֹּ֔ו כִּ֚י דֶּ֣רֶךְ חֹורֹנַ֔יִם זַעֲקַת־שֶׁ֖בֶר יְעֹעֵֽרוּ׃ |