Esaïe 47.10 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Esaïe 47.10 (LSG) | Tu avais confiance dans ta méchanceté, Tu disais : Personne ne me voit ! Ta sagesse et ta science t’ont séduite. Et tu disais en ton cœur : Moi, et rien que moi ! |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Esaïe 47.10 (NEG) | Tu avais confiance dans ta méchanceté, Tu disais : Personne ne me voit ! Ta sagesse et ta science t’ont séduite. Et tu disais en ton cœur : Moi, et rien que moi ! |
Segond 21 (2007) | Esaïe 47.10 (S21) | Tu avais confiance dans ta méchanceté, tu disais : « Personne ne me voit ! » Ce sont ta sagesse et ton savoir qui t’ont égarée et t’ont amenée à dire dans ton cœur : « Il n’y a que moi et personne d’autre ! » |
Louis Segond + Strong | Esaïe 47.10 (LSGSN) | Tu avais confiance dans ta méchanceté, Tu disais : Personne ne me voit ! Ta sagesse et ta science t’ont séduite . Et tu disais en ton cœur : Moi, et rien que moi ! |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Esaïe 47.10 (BAN) | Tu te confiais dans ta malice ; tu disais : Nul ne me voit ! Ta sagesse et ta science te séduisaient, et tu disais en ton cœur : Moi, et rien que moi ! |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Esaïe 47.10 (SAC) | Vous vous êtes tenue assurée dans votre malice, et vous avez dit ; Il n’y a personne qui me voie. C’est votre sagesse et votre science même qui vous a séduite. Vous avez dit dans votre cœur : Je suis souveraine, et il n’y en a point d’autre que moi. |
David Martin (1744) | Esaïe 47.10 (MAR) | Et tu t’es confiée en ta malice, et as dit ; Il n’y a personne qui me voie ; ta sagesse et ta science est celle qui t’a fait égarer ; tellement que tu as dit en ton cœur ; C’est moi, et il n’y en a point d’autre que moi. |
Ostervald (1811) | Esaïe 47.10 (OST) | Tu t’es confiée dans ta malice, et tu as dit : Personne ne me voit. Ta sagesse et ta science t’ont séduite, et tu as dit en ton cœur : Moi, et nulle autre que moi ! |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Esaïe 47.10 (CAH) | Tu t’étais confiée dans ta malice, tu disais : “Nul ne me voit. ” Ton génie, ta science, c’est là ta déception, et tu as dit en ton cœur : “C’est moi, et nul autre. ” |
Grande Bible de Tours (1866) | Esaïe 47.10 (GBT) | Vous avez eu confiance dans votre méchanceté, et vous avez dit : Il n’y a personne qui me voie. Votre sagesse et votre science vous ont séduite. Vous avez dit dans votre cœur : Je suis, et il n’y en a point d’autre que moi. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Esaïe 47.10 (PGR) | Tu te fiais en ta malice, tu disais : « Personne ne me voit ! » Ta sagesse et ta prudence ! ce sont elles qui t’égarent ; et tu dis dans ton cœur : « Moi et nulle autre que moi ! » |
Lausanne (1872) | Esaïe 47.10 (LAU) | Tu te fiais à ta malice ; tu disais : Personne ne me voit. Ta sagesse et ta science, c’est ce qui t’a séduite, et tu as dit en ton cœur : Moi, et nulle autre que moi ! |
Darby (1885) | Esaïe 47.10 (DBY) | Et tu as eu confiance en ton iniquité ; tu as dit : Personne ne me voit. Ta sagesse et ta connaissance, c’est ce qui t’a fait errer ; et tu as dit en ton cœur : C’est moi, et il n’y en a pas d’autre ! |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Esaïe 47.10 (TAN) | Tu avais foi dans ta malfaisance, tu disais : "Personne ne me voit !" Ta sagesse, ta science t’ont égarée, et ainsi tu pensais en toi-même : "Moi et personne que moi !" |
Glaire et Vigouroux (1902) | Esaïe 47.10 (VIG) | Tu avais confiance dans ta méchanceté, et tu as dit : Il n’y a personne qui me vois. Ta sagesse et ta science même t’ont séduite. Et tu as dit dans ton cœur : C’est moi (Moi je suis), et il n’y en a pas d’autre que moi. |
Fillion (1904) | Esaïe 47.10 (FIL) | Tu avais confiance dans ta méchanceté, et tu as dit : Il n’y a personne qui me vois. Ta sagesse et ta science même t’ont séduite. Et tu as dit dans ton coeur : C’est moi, et il n’y en a pas d’autre que moi. |
Auguste Crampon (1923) | Esaïe 47.10 (CRA) | Tu te confiais dans ta malice ; tu disais : « Nul ne me voit !?» Ta sagesse et ta science, ce sont elles qui t’ont séduite, alors que tu disais en ton cœur : « Moi, et rien que moi !?» |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Esaïe 47.10 (BPC) | Tu avais confiance dans ta malice ; tu disais : “Personne ne me voit.” Ta sagesse et ta science t’ont séduite ; - tu disais dans ton cœur : - “Moi et personne que moi.” |
Amiot & Tamisier (1950) | Esaïe 47.10 (AMI) | Vous vous êtes tenue assurée dans votre malice, et vous avez dit : Il n’y a personne qui me voie. C’est votre sagesse et votre science même qui vous a séduite. Vous avez dit dans votre cœur : [Je suis souveraine, et] il n’y en a point d’autre que moi. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Esaïe 47.10 (LXX) | τῇ ἐλπίδι τῆς πονηρίας σου σὺ γὰρ εἶπας ἐγώ εἰμι καὶ οὐκ ἔστιν ἑτέρα γνῶθι ὅτι ἡ σύνεσις τούτων καὶ ἡ πορνεία σου ἔσται σοι αἰσχύνη καὶ εἶπας τῇ καρδίᾳ σου ἐγώ εἰμι καὶ οὐκ ἔστιν ἑτέρα. |
Vulgate (1592) | Esaïe 47.10 (VUL) | et fiduciam habuisti in malitia tua et dixisti non est qui videat me sapientia tua et scientia tua haec decepit te et dixisti in corde tuo ego sum et praeter me non est altera |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Esaïe 47.10 (SWA) | Maana umeutumainia ubaya wako; umesema, Hapana anionaye; hekima yako, na maarifa yako yamekupotosha, nawe umesema moyoni mwako, Mimi ndiye, wala hapana mwingine zaidi yangu mimi. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Esaïe 47.10 (BHS) | וַתִּבְטְחִ֣י בְרָעָתֵ֗ךְ אָמַרְתְּ֙ אֵ֣ין רֹאָ֔נִי חָכְמָתֵ֥ךְ וְדַעְתֵּ֖ךְ הִ֣יא שֹׁובְבָ֑תֶךְ וַתֹּאמְרִ֣י בְלִבֵּ֔ךְ אֲנִ֖י וְאַפְסִ֥י עֹֽוד׃ |