Jérémie 4.29 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Jérémie 4.29 (LSG) | Au bruit des cavaliers et des archers, toutes les villes sont en fuite ; On entre dans les bois, on monte sur les rochers ; Toutes les villes sont abandonnées, il n’y a plus d’habitants. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Jérémie 4.29 (NEG) | Au bruit des cavaliers et des archers, toutes les villes sont en fuite ; On entre dans les bois, on monte sur les rochers ; Toutes les villes sont abandonnées, il n’y a plus d’habitants. |
Segond 21 (2007) | Jérémie 4.29 (S21) | Au bruit des cavaliers et des archers, toute la ville est en fuite. On se réfugie dans les buissons, on monte sur les rochers. Toute la ville est abandonnée, il n’y a plus d’habitants. |
Louis Segond + Strong | Jérémie 4.29 (LSGSN) | Au bruit des cavaliers et des archers , toutes les villes sont en fuite ; On entre dans les bois, on monte sur les rochers ; Toutes les villes sont abandonnées , il n’y a plus d’habitants . |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Jérémie 4.29 (BAN) | À la voix du cavalier et de l’archer, toute ville est en fuite ; on entre dans les forêts ; on monte sur les rochers ; toute ville est abandonnée ; il n’y reste personne. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Jérémie 4.29 (SAC) | Toute la ville fuit déjà au bruit de la cavalerie, et de ceux qui lancent des flèches. Ils se retirent aux lieux les plus hauts, et ils montent sur les pointes des rochers ; toutes les villes sont abandonnées, et il n’y a plus d’hommes pour les habiter. |
David Martin (1744) | Jérémie 4.29 (MAR) | Toute ville s’enfuit à cause du bruit des gens de cheval, et de ceux qui tirent de l’arc ; ils sont entrés dans les bois épais, et sont montés sur les rochers ; toute ville est abandonnée et personne n’y habite. |
Ostervald (1811) | Jérémie 4.29 (OST) | Au bruit des cavaliers et des tireurs d’arc toutes les villes prennent la fuite ; ils entrent dans les bois, montent sur les rochers ; toutes les villes sont abandonnées, il n’y reste plus d’habitants. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Jérémie 4.29 (CAH) | Du fracas du cavalier et de l’archer toute la ville s’enfuit ; on se cache dans les épaisseurs, on monte sur les rochers ; toute la ville est abandonnée, nul n’y demeure. |
Grande Bible de Tours (1866) | Jérémie 4.29 (GBT) | Toute la ville fuit au bruit de la cavalerie et de ceux qui lancent les flèches. Ils se retirent dans les lieux les plus escarpés, et ils montent sur la pointe des rochers ; toutes les villes sont abandonnées, et il n’y a plus d’hommes pour les habiter. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Jérémie 4.29 (PGR) | Au bruit des cavaliers et des archers toute ville est en fuite ; on gagne les forêts, et on gravit les rochers ; toute ville est abandonnée, il n’y reste personne. |
Lausanne (1872) | Jérémie 4.29 (LAU) | Au bruit des cavaliers et des tireurs d’arc toutes les villes fuient ; ils entrent dans l’épaisseur des forêts, ils montent dans les rochers ; toutes les villes sont abandonnées et il n’y a plus personne qui y habite. |
Darby (1885) | Jérémie 4.29 (DBY) | Devant le bruit des cavaliers et des tireurs d’arc toute ville fuit : ils entrent dans les fourrés et montent sur les rochers ; toute ville est abandonnée, et aucun homme n’y habite. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Jérémie 4.29 (TAN) | Devant la clameur des cavaliers et des archers, toute la ville est en fuite ; on pénètre dans les fourrés, on escalade les rochers ; toute ville est abandonnée, pas un homme n’y reste. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Jérémie 4.29 (VIG) | Toute la ville est en fuite, au bruit des cavaliers et de ceux qui lancent les flèches ; ils se retirent aux lieux escarpés, et ils montent sur les rochers ; toutes les villes sont abandonnées, et il n’y a plus d’homme qui les habite. |
Fillion (1904) | Jérémie 4.29 (FIL) | Toute la ville est en fuite, au bruit des cavaliers et de ceux qui lancent les flèches; ils se retirent aux lieux escarpés, et ils montent sur les rochers; toutes les villes sont abandonnées, et il n’y a plus d’homme qui les habite. |
Auguste Crampon (1923) | Jérémie 4.29 (CRA) | A la voix du cavalier et de l’archer, toute la ville est en fuite ; on entre dans les bois, on monte sur les rochers ; toutes les villes sont abandonnées, il n’y a plus d’habitant. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Jérémie 4.29 (BPC) | Aux cris des cavaliers et des archers tout le pays est en fuite ; - on entre dans les forêts, on monte sur les rochers. Toutes les villes sont abandonnées et il n’y a plus d’habitants. |
Amiot & Tamisier (1950) | Jérémie 4.29 (AMI) | Toute la ville fuit déjà au bruit de la cavalerie et de ceux qui lancent des flèches. Ils se retirent au milieu des forêts, et ils montent sur les pointes des rochers ; toutes les villes sont abandonnées, et il n’y a plus d’homme pour les habiter. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Jérémie 4.29 (LXX) | ἀπὸ φωνῆς ἱππέως καὶ ἐντεταμένου τόξου ἀνεχώρησεν πᾶσα χώρα εἰσέδυσαν εἰς τὰ σπήλαια καὶ εἰς τὰ ἄλση ἐκρύβησαν καὶ ἐπὶ τὰς πέτρας ἀνέβησαν πᾶσα πόλις ἐγκατελείφθη οὐ κατοικεῖ ἐν αὐταῖς ἄνθρωπος. |
Vulgate (1592) | Jérémie 4.29 (VUL) | a voce equitis et mittentis sagittam fugit omnis civitas ingressi sunt ardua et ascenderunt rupes universae urbes derelictae sunt et non habitat in eis homo |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Jérémie 4.29 (SWA) | Mji mzima unakimbia, kwa sababu ya mshindo wa wapanda farasi na wenye pinde wanaingia vichakani, wanapanda juu ya majabali; kila mji umeachwa, hapana hata mtu mmoja akaaye ndani yake. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Jérémie 4.29 (BHS) | מִקֹּ֨ול פָּרָ֜שׁ וְרֹ֣מֵה קֶ֗שֶׁת בֹּרַ֨חַת֙ כָּל־הָעִ֔יר בָּ֚אוּ בֶּעָבִ֔ים וּבַכֵּפִ֖ים עָל֑וּ כָּל־הָעִ֣יר עֲזוּבָ֔ה וְאֵין־יֹושֵׁ֥ב בָּהֵ֖ן אִֽישׁ׃ |