Luc 7.12 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Luc 7.12 (LSG) | Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve ; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Luc 7.12 (NEG) | Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici, on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve ; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville. |
Segond 21 (2007) | Luc 7.12 (S21) | Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici qu’on portait en terre un mort, fils unique de sa mère qui était veuve ; beaucoup d’habitants de la ville l’accompagnaient. |
Louis Segond + Strong | Luc 7.12 (LSGSN) | Lorsqu’il fut près de la porte de la ville, voici , on portait en terre un mort , fils unique de sa mère, qui était veuve ; et il y avait avec elle beaucoup de gens de la ville. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Luc 7.12 (BAN) | Or, comme il approchait de la porte de la ville, voici, on portait dehors un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve. Et une foule considérable de la ville était avec elle. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Luc 7.12 (SAC) | Lorsqu’il était près de la porte de la ville, il arriva qu’on portait en terre un mort, qui était fils unique de sa mère, et cette femme était veuve ; et il y avait une grande quantité de personnes de la ville avec elle. |
David Martin (1744) | Luc 7.12 (MAR) | Et comme il approchait de la porte de la ville, voici, on portait dehors un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve ; et une grande troupe de la ville était avec elle. |
Ostervald (1811) | Luc 7.12 (OST) | Et comme il approchait de la porte de la ville, voici on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve, et il y avait avec elle un grand nombre de gens de la ville. |
Les Évangiles de Félicité Robert de Lamennais (1846) | Luc 7.12 (LAM) | Comme il approchoit de la porte de la ville, voilà qu’on emportoit un mort, fils unique de sa mère ; et celle-ci étoit veuve, et beaucoup de gens de la ville l’accompagnoient. |
Grande Bible de Tours (1866) | Luc 7.12 (GBT) | Comme il approchait de la porte de la ville, il arriva qu’on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, qui était veuve ; et il y avait avec elle beaucoup de personnes de la ville. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Luc 7.12 (PGR) | Mais quand il approcha de la porte de la ville, voici, on emportait un mort, fils unique de sa mère ; et celle-ci était veuve, et une foule considérable de la ville était avec elle. |
Lausanne (1872) | Luc 7.12 (LAU) | Et comme il s’approchait de la porte de la ville, voici qu’on emportait un mort, fils unique de sa mère ; et elle était veuve. Et une assez grande foule de la ville était avec elle. |
Nouveau Testament Oltramare (1874) | Luc 7.12 (OLT) | Au moment où il arrivait près de la porte de la ville, on portait en terre un mort, fils unique d’une veuve, et une foule considérable de gens de la ville accompagnaient cette femme. |
Darby (1885) | Luc 7.12 (DBY) | Et comme il approchait de la porte de la ville, voici, on portait dehors un mort, fils unique de sa mère, et elle était veuve ; et une foule considérable de la ville était avec elle. |
Nouveau Testament Stapfer (1889) | Luc 7.12 (STA) | Comme il arrivait à la porte de la cité, il se trouva que l’on portait en terre un mort ; c’était un fils unique dont la mère était veuve. Une grande quantité d’habitants de la ville étaient avec elle. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Luc 7.12 (VIG) | Et comme il approchait de la porte de la ville, voici qu’on emportait un mort, fils unique de sa mère, et celle-ci était veuve ; et il y avait avec elle beaucoup de personnes de la ville. |
Fillion (1904) | Luc 7.12 (FIL) | Et comme Il approchait de la porte de la ville, voici qu’on emportait un mort, fils unique de sa mère, et celle-ci était veuve; et il y avait avec elle beaucoup de personnes de la ville. |
Nouveau Testament et Psaumes Synodale (1921) | Luc 7.12 (SYN) | Comme il approchait de la porte de la ville, voici qu’on emportait un mort, fils unique de sa mère qui était veuve ; et il y avait avec elle un grand nombre de gens de la ville. |
Auguste Crampon (1923) | Luc 7.12 (CRA) | Comme il arrivait près de la porte de la ville, il se trouva qu’on emportait un mort, fils unique de sa mère, et celle-ci était veuve, et beaucoup de gens de la ville l’accompagnaient. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Luc 7.12 (BPC) | Comme il approchait de la porte de la ville, voici qu’on emportait un mort, fils unique de sa mère, et celle-ci était veuve, et une foule considérable de gens de la ville étaient avec elle. |
Amiot & Tamisier (1950) | Luc 7.12 (AMI) | Comme il approchait de la porte de la ville, voici qu’on portait en terre un mort, fils unique de sa mère, laquelle était veuve, et il y avait avec elle une foule considérable de gens de la ville. |
Langues étrangères | ||
Vulgate (1592) | Luc 7.12 (VUL) | cum autem adpropinquaret portae civitatis et ecce defunctus efferebatur filius unicus matri suae et haec vidua erat et turba civitatis multa cum illa |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Luc 7.12 (SWA) | Na alipolikaribia lango la mji, hapo palikuwa na maiti anachukuliwa nje, ni mwana pekee wa mamaye ambaye ni mjane, na watu wa mjini wengi walikuwa pamoja naye. |
SBL Greek New Testament (2010) | Luc 7.12 (SBLGNT) | ὡς δὲ ἤγγισεν τῇ πύλῃ τῆς πόλεως, καὶ ἰδοὺ ἐξεκομίζετο τεθνηκὼς ⸂μονογενὴς υἱὸς⸃ τῇ μητρὶ αὐτοῦ, καὶ αὐτὴ ⸀ἦν χήρα, καὶ ὄχλος τῆς πόλεως ἱκανὸς ⸁ἦν σὺν αὐτῇ. |