Josué 8.20 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Josué 8.20 (LSG) | Les gens d’Aï, ayant regardé derrière eux, virent la fumée de la ville monter vers le ciel, et ils ne purent se sauver d’aucun côté. Le peuple qui fuyait vers le désert se retourna contre ceux qui le poursuivaient ; |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Josué 8.20 (NEG) | Les gens d’Aï, ayant regardé derrière eux, virent la fumée de la ville monter vers le ciel, et ils ne purent se sauver d’aucun côté. Le peuple qui fuyait vers le désert se retourna contre ceux qui le poursuivaient ; |
Segond 21 (2007) | Josué 8.20 (S21) | En regardant derrière eux, les habitants d’Aï virent la fumée de la ville monter vers le ciel, et ils ne purent se sauver d’aucun côté. Le peuple qui fuyait vers le désert se retourna contre ses poursuivants. |
Louis Segond + Strong | Josué 8.20 (LSGSN) | Les gens d’Aï, ayant regardé derrière eux, virent la fumée de la ville monter vers le ciel, et ils ne purent se sauver d’aucun côté. Le peuple qui fuyait vers le désert se retourna contre ceux qui le poursuivaient ; |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Josué 8.20 (BAN) | Et les hommes d’Aï se retournèrent et regardèrent ; et voici la fumée de la ville montait vers le ciel, et il n’y avait pour eux aucune possibilité de fuir ni d’un côté ni de l’autre, le peuple qui fuyait vers le désert s’étant retourné contre ceux qui le poursuivaient. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Josué 8.20 (SAC) | Or les gens de la ville qui poursuivaient Josué, regardant derrière eux, et voyant la fumée de la ville qui s’élevait jusqu’au ciel, ne purent plus fuir ni d’un côté ni d’un autre ; surtout parce que ceux qui avaient fait semblant de fuir, et qui marchaient du côté du désert, tournèrent visage contre eux, et attaquèrent vivement ceux qui les avaient poursuivis jusqu’alors. |
David Martin (1744) | Josué 8.20 (MAR) | Et les gens de Haï se tournant derrière eux, regardèrent ; et voici, la fumée de la ville montait jusqu’au ciel : et il n’y eut en eux aucune force pour fuir : et le peuple qui fuyait vers le désert, se tourna contre ceux qui le poursuivaient. |
Ostervald (1811) | Josué 8.20 (OST) | Et les gens d’Aï, se tournant derrière eux, regardèrent, et voici, la fumée de la ville montait vers le ciel ; et il n’y eut en eux aucune force pour fuir ici ou là. Et le peuple qui fuyait vers le désert, se retourna contre ceux qui le poursuivaient. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Josué 8.20 (CAH) | Les gens d’Aï ayant jeté un regard en arrière, virent et voilà que la fumée de la ville s’élevait vers le ciel, et ils n’eurent plus la force de fuir ça et là ; et le peuple qui avait fui vers le désert, se retourna vers celui qui le poursuivait. |
Grande Bible de Tours (1866) | Josué 8.20 (GBT) | Les guerriers de la ville qui poursuivaient Josué, regardant derrière eux, et voyant la fumée de la ville qui montait jusqu’au ciel, ne purent plus fuir d’un côté ni de l’autre, surtout lorsque ceux qui avaient fait semblant de fuir, et qui se dirigeaient vers le désert, se retournèrent et attaquèrent vivement ceux qui les avaient jusqu’alors poursuivis. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Josué 8.20 (PGR) | Alors les gens d’Aï ramenèrent leurs regards en arrière, et ils virent ; voilà que la fumée de la ville montait vers le ciel ; et il n’y avait pour eux aucun moyen de fuir ni d’un côté ni de l’autre ; et la troupe qui fuyait vers le désert se retourna contre ceux qui la poursuivaient. |
Lausanne (1872) | Josué 8.20 (LAU) | Et les hommes d’Aï se retournèrent et virent, et voilà, la fumée de la ville montait vers le ciel, et il n’était pas en leur pouvoir de fuir ni d’un côté ni de l’autre ; et le peuple qui fuyait vers le désert se retourna contre ceux qui le poursuivaient. |
Darby (1885) | Josué 8.20 (DBY) | Et les hommes d’Aï se retournèrent, et virent : et voici, la fumée de la ville montait vers les cieux ; et il n’y eut en eux aucune force pour fuir ni d’un côté ni de l’autre. Et le peuple qui fuyait vers le désert se tourna contre ceux qui le poursuivaient. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Josué 8.20 (TAN) | Les gens d’Aï, en se retournant, virent la fumée de leur ville qui montait vers le ciel, et les bras leur tombèrent, ne pouvant fuir d’aucun côté ; et le peuple qui fuyait devant eux vers le désert, fit volte-face pour arrêter leur poursuite. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Josué 8.20 (VIG) | Mais les guerriers de la ville qui poursuivaient Josué regardant derrière eux et voyant la fumée de la ville qui s’élevait jusqu’au ciel, ne purent plus fuir ni d’un côté ni d’un autre ; surtout parce que ceux qui avaient fait semblant de fuir et qui marchaient du côté du désert, se retournèrent contre eux, et attaquèrent vivement ceux qui les avaient poursuivis jusqu’alors. |
Fillion (1904) | Josué 8.20 (FIL) | Mais les guerriers de la ville qui poursuivaient Josué regardant derrière eux et voyant la fumée de la ville qui s’élevait jusqu’au ciel, ne purent plus fuir ni d’un côté ni d’un autre; surtout parce que ceux qui avaient fait semblant de fuir et qui marchaient du côté du désert, se retournèrent contre eux, et attaquèrent vivement ceux qui les avaient poursuivis jusqu’alors. |
Auguste Crampon (1923) | Josué 8.20 (CRA) | Les hommes d’Haï, regardant derrière eux, aperçurent la fumée de la ville qui montait vers le ciel, et ils ne purent plus se sauver d’aucun côté, le peuple qui fuyait vers le désert se retournant contre ceux qui le poursuivaient. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Josué 8.20 (BPC) | S’étant retournés, les gens d’Haï eurent ce spectacle : la fumée de la ville montait vers le ciel. Pour eux, il n’y avait possibilité de fuir d’aucun côté. [Alors le peuple qui fuyait par le Désert fit fête à ceux qui le poursuivaient. ] |
Amiot & Tamisier (1950) | Josué 8.20 (AMI) | Or, les gens de la ville qui poursuivaient Josué, regardant derrière eux et voyant la fumée de la ville qui s’élevait jusqu’au ciel, ne purent plus fuir ni d’un côté ni d’un autre ; surtout parce que ceux qui avaient fait semblant de fuir et qui marchaient du côté du désert, tournèrent visage contre eux, et attaquèrent vivement ceux qui les avaient poursuivis jusqu’alors. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Josué 8.20 (LXX) | καὶ περιβλέψαντες οἱ κάτοικοι Γαι εἰς τὰ ὀπίσω αὐτῶν καὶ ἐθεώρουν καπνὸν ἀναβαίνοντα ἐκ τῆς πόλεως εἰς τὸν οὐρανόν καὶ οὐκέτι εἶχον ποῦ φύγωσιν ὧδε ἢ ὧδε. |
Vulgate (1592) | Josué 8.20 (VUL) | viri autem civitatis qui persequebantur Iosue respicientes et videntes fumum urbis ad caelum usque conscendere non potuerunt ultra huc illucque diffugere praesertim cum hii qui simulaverant fugam et tendebant ad solitudinem contra persequentes fortissime restitissent |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Josué 8.20 (SWA) | Kisha hapo hao watu wa Ai walipotazama nyuma yao, wakaona, na tazama, moshi wa huo mji ulikuwa unapaa juu kwenda mawinguni, nao hawakuwa na nguvu za kukimbia huku wala huku; na wale watu waliokuwa wamekimbia kuenenda nyikani wakageuka na kuwarudia hao waliokuwa wakiwafuatia. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Josué 8.20 (BHS) | וַיִּפְנ֣וּ אַנְשֵׁי֩ הָעַ֨י אַחֲרֵיהֶ֜ם וַיִּרְא֗וּ וְהִנֵּ֨ה עָלָ֜ה עֲשַׁ֤ן הָעִיר֙ הַשָּׁמַ֔יְמָה וְלֹא־הָיָ֨ה בָהֶ֥ם יָדַ֛יִם לָנ֖וּס הֵ֣נָּה וָהֵ֑נָּה וְהָעָם֙ הַנָּ֣ס הַמִּדְבָּ֔ר נֶהְפַּ֖ךְ אֶל־הָרֹודֵֽף׃ |