Juges 17.2 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Juges 17.2 (LSG) | Il dit à sa mère : Les mille et cent sicles d’argent qu’on t’a pris, et pour lesquels tu as fait des imprécations même à mes oreilles, voici, cet argent est entre mes mains, c’est moi qui l’avais pris. Et sa mère dit : Béni soit mon fils par l’Éternel ! |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Juges 17.2 (NEG) | Il dit à sa mère : Les mille cent sicles d’argent qu’on t’a pris, et pour lesquels tu as fait des imprécations même à mes oreilles, voici, cet argent est entre mes mains, c’est moi qui l’avais pris. Et sa mère dit : Béni soit mon fils par l’Éternel ! |
Segond 21 (2007) | Juges 17.2 (S21) | qui dit à sa mère : « Les 1 100 pièces d’argent qu’on t’a prises et pour lesquelles tu as proféré des malédictions même à mes oreilles, eh bien, cet argent est entre mes mains, c’est moi qui l’avais pris. » Sa mère dit : « Que mon fils soit béni de l’Éternel ! » |
Louis Segond + Strong | Juges 17.2 (LSGSN) | Il dit à sa mère : Les mille et cent sicles d’argent qu’on t’a pris , et pour lesquels tu as fait des imprécations même à mes oreilles, voici, cet argent est entre mes mains, c’est moi qui l’avais pris . Et sa mère dit : Béni soit mon fils par l’Éternel ! |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Juges 17.2 (BAN) | Et il dit à sa mère : Les mille et cent sicles d’argent qu’on t’a pris et au sujet desquels tu as prononcé une malédiction, et tu l’as même prononcée à mes oreilles, voici cet argent est chez moi : c’est moi qui l’ai pris. Et sa mère dit : Que mon fils soit béni de l’Éternel ! |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Juges 17.2 (SAC) | qui dit à sa mère : Les onze cents pièces d’argent que vous aviez mises à part pour vous, et sur le sujet desquelles vous aviez fait devant moi des imprécations, afin qu’on vous les rendît, sont entre mes mains, et je les ai présentement. Sa mère lui répondit : Que le Seigneur comble mon fils de ses bénédictions ! |
David Martin (1744) | Juges 17.2 (MAR) | Qui dit à sa mère : Les onze cents [pièces] d’argent qui te furent prises, pour lesquelles tu fis des imprécations, en ma présence, voici, j’ai cet argent-là par-devers moi ; je l’avais pris. Alors sa mère dit : Béni soit mon fils par l’Éternel. |
Ostervald (1811) | Juges 17.2 (OST) | Il dit à sa mère : Les onze cents pièces d’argent qui te furent prises, et pour lesquelles tu fis des imprécations, même à mes oreilles, voici, cet argent est entre mes mains ; c’est moi qui l’avais pris. Alors sa mère dit : Que mon fils soit béni par l’Éternel ! |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Juges 17.2 (CAH) | Qui dit à sa mère : Les mille et cent (pièces) d’argent qui ont été pris et pour lesquelles tu as fait des imprécations, tu (en) as même parlé à mes oreilles ; cet argent est avec moi, je l’avais pris ; sa mère lui répondit : Béni soit mon fils par l’Éternel. |
Grande Bible de Tours (1866) | Juges 17.2 (GBT) | Qui dit à sa mère : Les onze cents pièces d’argent que vous aviez mises à part, et au sujet desquelles vous aviez fait tant d’imprécations en ma présence, je les ai, et elles sont entre mes mains. Sa mère lui répondit : Que mon fils soit béni par le Seigneur. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Juges 17.2 (PGR) | Et il dit à sa mère : Les mille et cent sicles d’argent qui t’ont été soustraits et au sujet desquels tu as fait une adjuration prononcée par toi à mes oreilles mêmes, eh bien ! cet argent est par devers moi, c’est moi qui l’ai soustrait. Alors sa mère dit : Que mon fils soit béni de l’Éternel ! |
Lausanne (1872) | Juges 17.2 (LAU) | Et il dit à sa mère : Les onze cents [sicles] d’argent qui te furent pris, et [pour lesquels] tu as fait des imprécations, et [dont] tu as aussi parlé, à mes oreilles, voici, cet argent est chez moi ; c’est moi qui l’ai pris. Et sa mère lui dit : Béni soit mon fils de par l’Éternel ! |
Darby (1885) | Juges 17.2 (DBY) | et il dit à sa mère : Les onze cents pièces d’argent qui t’ont été prises, et au sujet desquelles tu as fait des imprécations et as aussi parlé à mes oreilles..., voici, l’argent est par devers moi ; c’est moi qui l’avais pris. Et sa mère dit : Béni soit mon fils de par l’Éternel ! |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Juges 17.2 (TAN) | Il dit un jour à sa mère : "Les onze cents pièces d’argent qu’on t’a dérobées, vol dont tu as maudit l’auteur, et cela en ma présence, sache que cet argent est en ma possession ; c’est moi qui l’ai pris." La mère répondit : "Que mon fils soit béni du Seigneur !" |
Glaire et Vigouroux (1902) | Juges 17.2 (VIG) | qui dit à sa mère : Les onze cents pièces d’argent que vous aviez mises à part pour vous, et au sujet desquelles vous aviez fait devant moi des imprécations pour qu’on vous les rendit (avez juré), sont entre mes mains, et je les ai sur moi. Sa mère lui répondit : Que le Seigneur comble mon fils de ses bénédictions. |
Fillion (1904) | Juges 17.2 (FIL) | qui dit à sa mère: Les onze cents pièces d’argent que vous aviez mises à part pour vous, et au sujet desquelles vous aviez fait devant moi des imprécations pour qu’on vous les rendit, sont entre mes mains, et je les ai sur moi. Sa mère lui répondit: Que le Seigneur comble mon fils de Ses bénédictions. |
Auguste Crampon (1923) | Juges 17.2 (CRA) | Il dit à sa mère : « Les mille et cent sicles d’argent qu’on t’a pris, et au sujet desquels tu as prononcé une malédiction, — et tu l’as même prononcée à mes oreilles, — voici, cet argent est entre mes mains, c’est moi qui l’ai pris?» Et sa mère dit : « Que mon fils soit béni de Yahweh !?» |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Juges 17.2 (BPC) | Il dit à sa mère : Les “onze cents sicles d’argent qu’on t’a pris - au sujet desquels tu as fait une malédiction, disant à mes oreilles : |
Amiot & Tamisier (1950) | Juges 17.2 (AMI) | qui dit à sa mère : Les onze cents sicles d’argent que l’on vous a pris, et sur le sujet desquels vous aviez fait devant moi des imprécations, afin qu’on vous les rendît, sont entre mes mains, et le les ai présentement. Sa mère lui répondit : Que le Seigneur comble mon fils de ses bénédictions. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Juges 17.2 (LXX) | καὶ εἶπεν τῇ μητρὶ αὐτοῦ χιλίους καὶ ἑκατὸν ἀργυρίου τοὺς λημφθέντας σοι καὶ ἐξώρκισας καὶ εἶπας ἐν τοῖς ὠσίν μου ἰδοὺ τὸ ἀργύριον παρ’ ἐμοί ἐγὼ ἔλαβον αὐτό καὶ εἶπεν ἡ μήτηρ αὐτοῦ εὐλογημένος ὁ υἱός μου τῷ κυρίῳ. |
Vulgate (1592) | Juges 17.2 (VUL) | qui dixit matri suae mille centum argenteos quos separaveras tibi et super quibus me audiente iuraveras ecce ego habeo et apud me sunt cui illa respondit benedictus filius meus Domino |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Juges 17.2 (SWA) | Naye akamwambia mama yake, Hizo fedha elfu na mia moja ulizonyang’anywa, ambazo uliweka kiapo kwa ajili yake na kusema masikioni mwangu, tazama, ninazo mimi hizo fedha; ni mimi niliyezitwaa. Mama yake akasema, mwanangu na abarikiwe na Bwana. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Juges 17.2 (BHS) | וַיֹּ֣אמֶר לְאִמֹּ֡ו אֶלֶף֩ וּמֵאָ֨ה הַכֶּ֜סֶף אֲשֶׁ֣ר לֻֽקַּֽח־לָ֗ךְ וְאַ֤תְּ אָלִית֙ וְגַם֙ אָמַ֣רְתְּ בְּאָזְנַ֔י הִנֵּֽה־הַכֶּ֥סֶף אִתִּ֖י אֲנִ֣י לְקַחְתִּ֑יו וַתֹּ֣אמֶר אִמֹּ֔ו בָּר֥וּךְ בְּנִ֖י לַיהוָֽה׃ |