Juges 19.27 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Juges 19.27 (LSG) | Et le matin, son mari se leva, ouvrit la porte de la maison, et sortit pour continuer son chemin. Mais voici, la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Juges 19.27 (NEG) | Et le matin, son mari se leva, ouvrit la porte de la maison, et sortit pour continuer son chemin. Mais voici, la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil. |
Segond 21 (2007) | Juges 19.27 (S21) | Le matin, son mari se leva, ouvrit la porte de la maison et sortit pour continuer son chemin. Mais voici que la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil. |
Louis Segond + Strong | Juges 19.27 (LSGSN) | Et le matin, son mari se leva , ouvrit la porte de la maison, et sortit pour continuer son chemin. Mais voici, la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Juges 19.27 (BAN) | Et le matin, son maître se leva, et il ouvrit la porte de la maison et sortit pour continuer son chemin ; et voici, la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Juges 19.27 (SAC) | Le matin son mari s’étant levé, ouvrit la porte pour continuer son chemin, et il y trouva sa femme couchée par terre, ayant les mains étendues sur le seuil de la porte. |
David Martin (1744) | Juges 19.27 (MAR) | Et son Seigneur se leva de bon matin, et ayant ouvert la porte il sortait pour continuer son chemin ; mais voici, sa femme concubine était tombée à la porte de la maison, et avait les mains sur le seuil. |
Ostervald (1811) | Juges 19.27 (OST) | Et le matin, son mari se leva, ouvrit la porte, et sortit pour continuer son chemin ; mais voici, la femme, sa concubine, était étendue à la porte de la maison, les mains sur le seuil. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Juges 19.27 (CAH) | Son maître se leva le matin, et ayant ouvert la porte de la maison, il sortit pour continuer son chemin ; et voilà que la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, et les mains sur le seuil. |
Grande Bible de Tours (1866) | Juges 19.27 (GBT) | Le matin, le lévite se leva, et ouvrit la porte pour continuer sa route, et il vit sa femme gisant devant la porte, les mains étendues sur le seuil. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Juges 19.27 (PGR) | Et le matin comme son maître s’étant levé ouvrait les portes de la maison et sortait pour suivre sa route, voilà que sa concubine était étendue à la porte de la maison, les mains posées sur le seuil. |
Lausanne (1872) | Juges 19.27 (LAU) | Et le matin son seigneur se leva, et il ouvrit les portes de la maison et sortit pour aller son chemin ; et voici, la femme, sa concubine, [était] étendue à l’entrée de la maison, ses mains sur le seuil. |
Darby (1885) | Juges 19.27 (DBY) | Et son seigneur se leva le matin, et ouvrit la porte de la maison, et sortit pour aller son chemin ; et voici, la femme, sa concubine, était tombée à l’entrée de la maison, ses mains sur le seuil. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Juges 19.27 (TAN) | Le matin venu, celui-ci se leva, ouvrit la porte de la maison, et il sortait pour continuer son voyage lorsqu’il vit cette femme, sa concubine, étendue à l’entrée, les mains sur le seuil. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Juges 19.27 (VIG) | Le matin, son mari se leva et ouvrit la porte pour continuer son chemin, et il y trouva sa femme couchée par terre, ayant les mains étendues sur le seuil de la porte. |
Fillion (1904) | Juges 19.27 (FIL) | Le matin, son mari se leva et ouvrit la porte pour continuer son chemin, et il y trouva sa femme couchée par terre, ayant les mains étendues sur le seuil de la porte. |
Auguste Crampon (1923) | Juges 19.27 (CRA) | Son mari se leva le matin et, ayant ouvert la porte de la maison, il sortit pour continuer sa route. Et voici que la femme, sa concubine, était étendue à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Juges 19.27 (BPC) | Or, son mari, s’étant levé au matin, ouvrit la porte de la maison et sortit pour continuer sa route : voici que la femme, sa concubine, gisait à l’entrée de la maison, les mains sur le seuil. |
Amiot & Tamisier (1950) | Juges 19.27 (AMI) | Le matin, son mari s’étant levé ouvrit la porte pour continuer son chemin, et il y trouva sa femme couchée par terre, ayant les mains étendues sur le seuil de la porte. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Juges 19.27 (LXX) | καὶ ἀνέστη ὁ κύριος αὐτῆς τὸ πρωὶ καὶ ἤνοιξεν τὰς θύρας τοῦ οἴκου καὶ ἐξῆλθεν τοῦ ἀπελθεῖν τὴν ὁδὸν αὐτοῦ καὶ ἰδοὺ ἡ γυνὴ ἡ παλλακὴ αὐτοῦ πεπτωκυῖα παρὰ τὴν θύραν καὶ αἱ χεῖρες αὐτῆς ἐπὶ τὸ πρόθυρον. |
Vulgate (1592) | Juges 19.27 (VUL) | mane facto surrexit homo et aperuit ostium ut coeptam expleret viam et ecce concubina eius iacebat ante ostium sparsis in limine manibus |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Juges 19.27 (SWA) | Bwana wake akaondoka asubuhi, akaifungua milango ya nyumba, akatoka nje ili aende zake, na tazama, huyo mwanamke suria yake alikuwa ameanguka pale mlangoni pa nyumba, na mikono yake ilikuwa i pale kizingitini. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Juges 19.27 (BHS) | וַיָּ֨קָם אֲדֹנֶ֜יהָ בַּבֹּ֗קֶר וַיִּפְתַּח֙ דַּלְתֹ֣ות הַבַּ֔יִת וַיֵּצֵ֖א לָלֶ֣כֶת לְדַרְכֹּ֑ו וְהִנֵּ֧ה הָאִשָּׁ֣ה פִֽילַגְשֹׁ֗ו נֹפֶ֨לֶת֙ פֶּ֣תַח הַבַּ֔יִת וְיָדֶ֖יהָ עַל־הַסַּֽף׃ |