Ruth 3.14 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Ruth 3.14 (LSG) | Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Boaz dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme est entrée dans l’aire. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Ruth 3.14 (NEG) | Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on puisse se reconnaître l’un l’autre. Boaz dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme est entrée dans l’aire. |
Segond 21 (2007) | Ruth 3.14 (S21) | Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin et se leva avant qu’on puisse se reconnaître l’un l’autre. Boaz dit : « Qu’on ne sache pas que cette femme est entrée dans l’aire de battage. » |
Louis Segond + Strong | Ruth 3.14 (LSGSN) | Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Boaz dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme est entrée dans l’aire. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Ruth 3.14 (BAN) | Et elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Et Boaz dit : Qu’on ne sache pas que cette femme est venue dans l’aire. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Ruth 3.14 (SAC) | Elle dormit donc à ses pieds jusqu’à ce que la nuit fût passée ; et elle se leva le matin avant que les hommes se pussent entre-connaître. Booz lui dit encore : Prenez bien garde que personne ne sache que vous soyez venue ici. |
David Martin (1744) | Ruth 3.14 (MAR) | Elle demeura donc couchée à ses pieds jusqu’au matin, puis elle se leva avant qu’on se put reconnaître l’un l’autre ; car il dit : Qu’on ne sache point qu’aucune femme soit entrée dans l’aire. |
Ostervald (1811) | Ruth 3.14 (OST) | Elle demeura donc couchée à ses pieds, jusqu’au matin ; et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Et Booz dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme est entrée dans l’aire. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Ruth 3.14 (CAH) | Elle resta couchée à ses pieds jusqu’au matin. Elle se leva avant que l’on pût reconnaître l’un l’autre, et il dit : Qu’on ne sache pas que cette femme est venue dans l’aire. |
Grande Bible de Tours (1866) | Ruth 3.14 (GBT) | Elle dormit donc à ses pieds jusqu’à ce que la nuit fût passée ; et elle se leva le matin avant que les hommes pussent se reconnaître. Et Booz lui dit : Prenez garde que personne ne sache que vous êtes venue ici. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Ruth 3.14 (PGR) | Elle demeura donc couchée à ses pieds jusqu’au matin. Puis elle se leva avant que deux personnes pussent se reconnaître l’une l’autre. |
Lausanne (1872) | Ruth 3.14 (LAU) | Et elle fut couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Et Boaz dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme{Héb. la femme.} est entrée dans l’aire. |
Darby (1885) | Ruth 3.14 (DBY) | Et elle resta couchée là à ses pieds jusqu’au matin ; et elle se leva avant qu’on pût se reconnaître l’un l’autre. Et il dit : Qu’on ne sache pas qu’une femme est venue dans l’aire. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Ruth 3.14 (TAN) | Elle demeura étendue au bas de sa couche jusqu’au lendemain matin ; puis elle se releva avant l’heure où on peut se reconnaître les uns les autres "Car, disait-il, il ne faut pas qu’on sache que cette femme a pénétré dans l’aire." |
Glaire et Vigouroux (1902) | Ruth 3.14 (VIG) | Elle dormit donc à ses pieds jusqu’à ce que la nuit fût passée ; et elle se leva le matin, avant que les hommes se pussent entre-connaître. Booz lui dit encore : Prends bien garde que personne ne sache que tu es venue ici. |
Fillion (1904) | Ruth 3.14 (FIL) | Elle dormit donc à ses pieds jusqu’à ce que la nuit fût passée; et elle se leva le matin, avant que les hommes se pussent entre-connaître. Booz lui dit encore: Prenez bien garde que personne ne sache que vous êtes venue ici. |
Auguste Crampon (1923) | Ruth 3.14 (CRA) | Elle resta donc couchée à ses pieds jusqu’au matin, et elle se leva avant qu’un homme pût en reconnaître un autre. Booz dit : « Qu’on ne sache pas que cette femme est entrée dans l’aire. » |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Ruth 3.14 (BPC) | Elle dormit donc à ses pieds jusqu’au matin, et se leva avant qu’un homme pût en reconnaître un autre. Il dit alors : “Qu’on ne sache pas que cette femme est entrée dans l’aire !” |
Amiot & Tamisier (1950) | Ruth 3.14 (AMI) | Elle dormit donc à ses pieds jusqu’à ce que la nuit fût passée ; et elle se leva le matin avant que les hommes se pussent entre-connaître. Booz lui dit encore : Prenez bien garde que personne ne sache que vous êtes venue ici. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Ruth 3.14 (LXX) | καὶ ἐκοιμήθη πρὸς ποδῶν αὐτοῦ ἕως πρωί ἡ δὲ ἀνέστη πρὸ τοῦ ἐπιγνῶναι ἄνδρα τὸν πλησίον αὐτοῦ καὶ εἶπεν Βοος μὴ γνωσθήτω ὅτι ἦλθεν γυνὴ εἰς τὸν ἅλωνα. |
Vulgate (1592) | Ruth 3.14 (VUL) | dormivit itaque ad pedes eius usque ad noctis abscessum surrexitque antequam homines se cognoscerent mutuo et dixit Booz cave ne quis noverit quod huc veneris |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Ruth 3.14 (SWA) | Hivyo huyo mwanamke akalala miguuni pake hata asubuhi; akaondoka mapema asijaweza mtu kumtambua mwenziwe; maana Boazi amesema, Isijulikane kabisa ya kuwa mwanamke alifika penye uga. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Ruth 3.14 (BHS) | וַתִּשְׁכַּ֤ב מַרְגְּלֹתָיו֙ עַד־הַבֹּ֔קֶר וַתָּ֕קָם בְּטֶ֛רֶם יַכִּ֥יר אִ֖ישׁ אֶת־רֵעֵ֑הוּ וַיֹּ֨אמֶר֙ אַל־יִוָּדַ֔ע כִּי־בָ֥אָה הָאִשָּׁ֖ה הַגֹּֽרֶן׃ |