Deutéronome 21.17 comparé dans 29 versions de la Bible.
Les « Louis Segond » | ||
Louis Segond 1910 (1910) | Deutéronome 21.17 (LSG) | Mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera sur son bien une portion double ; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d’aînesse lui appartient. |
Nouvelle édition de Genève (1979) | Deutéronome 21.17 (NEG) | Mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera sur son bien une portion double ; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d’aînesse lui appartient. |
Segond 21 (2007) | Deutéronome 21.17 (S21) | Il reconnaîtra au contraire comme premier-né le fils de celle qu’il n’aime pas et il lui donnera une double portion de son bien, car ce fils est le premier de ses enfants. Le droit d’aînesse lui appartient. |
Louis Segond + Strong | Deutéronome 21.17 (LSGSN) | Mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qu’il n’aime pas , et lui donnera sur son bien une portion double ; car ce fils est les prémices de sa vigueur, le droit d’aînesse lui appartient. |
Les Bibles d'étude | ||
Bible Annotée (1899) | Deutéronome 21.17 (BAN) | Il reconnaîtra comme premier-né le fils de celle qui est haïe pour lui donner une portion double de tout ce qui se trouvera lui appartenir ; car c’est lui qui est les prémices de sa vigueur : c’est à lui qu’est le droit d’aînesse. |
Les « autres versions » | ||
Lemaîtstre de Sacy (1701) | Deutéronome 21.17 (SAC) | mais il reconnaîtra pour l’aîné le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera une double portion dans tout ce qu’il possède ; parce que c’est lui qui est le premier de ses enfants, et que le droit d’aînesse lui est dû. |
David Martin (1744) | Deutéronome 21.17 (MAR) | Mais il reconnaîtra le fils de celle qui est haïe pour son premier-né, en lui donnant la portion de deux, de tout ce qui se trouvera lui appartenir ; car il est le commencement de sa vigueur ; le droit d’aînesse lui appartient. |
Ostervald (1811) | Deutéronome 21.17 (OST) | Mais il reconnaîtra le fils de celle qui est haïe pour le premier-né, en lui donnant une double portion de tout ce qui se trouvera lui appartenir ; car il est les prémices de sa vigueur ; le droit d’aînesse lui appartient. |
Ancien Testament Samuel Cahen (1831) | Deutéronome 21.17 (CAH) | Mais il reconnaîtra pour aîné le fils de celle qui est haïe pour lui donner une part double de tout ce qui s’y trouvera, car lui est la primeur de sa virilité, à lui est le droit d’aînesse. |
Grande Bible de Tours (1866) | Deutéronome 21.17 (GBT) | Mais il reconnaîtra comme aîné le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera une part double de tout ce qu’il possède ; parce qu’il est le premier de ses enfants, et que le droit d’aînesse lui est dû. |
Perret-Gentil et Rilliet (1869) | Deutéronome 21.17 (PGR) | mais il devra reconnaître le premier-né, fils de l’épouse haïe, en lui donnant double part dans sa succession entière, car il est les prémices de sa vigueur, à lui appartiennent les droits de primogéniture. |
Lausanne (1872) | Deutéronome 21.17 (LAU) | mais il reconnaîtra le premier-né, [quoique] fils de celle qui est haïe, pour lui donner double part dans tout ce qui se trouvera être à lui ; car c’est celui-là qui est le commencement de sa vigueur : le droit d’aînesse{Héb. droit de la primogéniture.} lui appartient. |
Darby (1885) | Deutéronome 21.17 (DBY) | mais il reconnaîtra pour premier-né le fils de celle qui est haïe, pour lui donner double portion de tout ce qui se trouvera être à lui ; car il est le commencement de sa vigueur, le droit d’aînesse lui appartient. |
La Bible du Rabbinat français - Tanakh (1899) | Deutéronome 21.17 (TAN) | C’est le fils aîné de la dédaignée qu’il doit reconnaître pour tel, lui attribuant une part double dans tout son avoir ; car c’est lui qui est le premier fruit de sa force, à lui appartient le droit d’aînesse. |
Glaire et Vigouroux (1902) | Deutéronome 21.17 (VIG) | mais il reconnaîtra pour l’aîné le fils de celle qu’il n’aime pas (femme odieuse), et lui donnera une portion double de tout ce qu’il possède ; parce que c’est lui qui est le premier de ses enfants, et que le droit d’aînesse lui est dû. |
Fillion (1904) | Deutéronome 21.17 (FIL) | mais il reconnaîtra pour l’aîné le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera une portion double de tout ce qu’il posséde; parce que c’est lui qui est le premier de ses enfants, et que le droit d’aînesse lui est dû. |
Auguste Crampon (1923) | Deutéronome 21.17 (CRA) | Mais il reconnaîtra comme premier-né le fils de celle qui est haïe, et lui donnera sur tous ses biens une portion double ; car ce fils est les prémices de sa vigueur ; c’est à lui qu’appartient le droit d’aînesse. |
Bible Pirot-Clamer (1949) | Deutéronome 21.17 (BPC) | Mais il reconnaîtra le premier-né de celle qui n’est pas aimée en lui donnant une double part sur tous ses biens, car ce fils est les prémices de sa vigueur, c’est à lui qu’appartient le droit d’aînesse. |
Amiot & Tamisier (1950) | Deutéronome 21.17 (AMI) | mais il reconnaîtra pour l’aîné le fils de celle qu’il n’aime pas, et lui donnera une double portion dans tout ce qu’il possède ; parce que c’est lui qui est le premier de ses enfants, et que le droit d’aînesse lui est dû. |
Langues étrangères | ||
Septante (282) | Deutéronome 21.17 (LXX) | ἀλλὰ τὸν πρωτότοκον υἱὸν τῆς μισουμένης ἐπιγνώσεται δοῦναι αὐτῷ διπλᾶ ἀπὸ πάντων ὧν ἂν εὑρεθῇ αὐτῷ ὅτι οὗτός ἐστιν ἀρχὴ τέκνων αὐτοῦ καὶ τούτῳ καθήκει τὰ πρωτοτόκια. |
Vulgate (1592) | Deutéronome 21.17 (VUL) | sed filium odiosae agnoscet primogenitum dabitque ei de his quae habuerit cuncta duplicia iste est enim principium liberorum eius et huic debentur primogenita |
Bible en Swahili de l’est (1868) | Deutéronome 21.17 (SWA) | lakini amkubali mzaliwa wa kwanza mwana wa yule asiyempenda, kwa kumpa mafungu mawili katika vyote alivyo navyo; kwa maana ndiye mwanzo wa nguvu zake; haki ya mzaliwa wa kwanza ni yake yeye. |
Biblia Hebraica Stuttgartensia (1977) | Deutéronome 21.17 (BHS) | כִּי֩ אֶת־הַבְּכֹ֨ר בֶּן־הַשְּׂנוּאָ֜ה יַכִּ֗יר לָ֤תֶת לֹו֙ פִּ֣י שְׁנַ֔יִם בְּכֹ֥ל אֲשֶׁר־יִמָּצֵ֖א לֹ֑ו כִּי־הוּא֙ רֵאשִׁ֣ית אֹנֹ֔ו לֹ֖ו מִשְׁפַּ֥ט הַבְּכֹרָֽה׃ ס |