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Psaumes 42.9 Nouveau Testament et Psaumes Synodale
Deuxième livre
L’espérance en Dieu
1 Au maître-chantre. — Hymne des enfants de Goré. Comme un cerf brame après les eaux courantes, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu ! 2 Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant. Quand entrerai-je et me présenterai-je devant sa face ? 3 Les larmes sont jour et nuit ma nourriture, Depuis qu’on me dit sans cesse : « Où est ton Dieu ? » 4 Je me souviens — et mon cœur se brise à ce souvenir ! — Que je marchais avec la foule, Et m’avançais à sa tête jusqu’à la maison de Dieu, Au milieu des cris de joie et de louange D’une multitude en fête. 5 Pourquoi t’abats-tu, mon âme, et pourquoi frémis-tu en moi ? Espère en Dieu ; car je le célébrerai encore : Il est mon salut et mon Dieu ! 6 Mon âme est abattue en moi, Parce que je pense à toi, ô Dieu, dans le pays du Jourdain, Et dans les montagnes de l’Hermon et de Mitséar. 7 La vague appelle la vague, quand mugit la tempête ; Tous les flots, tous les torrents ont passé sur moi. 8 Pendant le jour, l’Éternel répandait sur moi sa grâce. Et la nuit sa louange était sur ma bouche. Je prie le Dieu qui est ma vie ; 9 Je dis à Dieu, mon rocher : « Pourquoi m’as-tu oublié ? » Pourquoi marcherais-je en vêtements de deuil, Sous l’oppression de l’ennemi ? 10 Je sens mes os se briser, quand mes oppresseurs m’outragent, En me disant chaque jour : « Où est ton Dieu ? » 11 Pourquoi t’abats-tu, mon âme, et pourquoi frémis-tu en moi ? Espère en Dieu ; car je le célébrerai encore : Il est mon salut et mon Dieu !