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Apocalypse 15.4 Nouveau Testament et Psaumes Synodale
Les sept fléaux
1 Je vis dans le ciel un autre prodige, grand et admirable : sept anges portaient sept fléaux, les derniers ; car c’est par ces fléaux que doit se consommer le courroux de Dieu. 2 Puis je vis comme une mer de verre, mêlée de feu, et ceux qui avaient vaincu la bête et son image et le nombre de son nom, debout sur cette mer de verre, tenant les harpes de Dieu. 3 Ils chantent le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l’Agneau, en disant : Tes œuvres sont grandes et admirables, Seigneur, Dieu tout-puissant ! Tes voies sont justes et véritables, ô Roi des nations ! 4 Qui ne craindrait Seigneur, et qui ne glorifierait ton nom ? Car seul tu es saint ; et toutes les nations viendront se prosterner devant toi, parce que tes jugements ont été manifestés. 5 Après cela, je vis s’ouvrir dans le ciel le sanctuaire du tabernacle du témoignage. 6 Les sept anges, qui tenaient les sept fléaux, sortirent du temple, vêtus d’un lin pur et éclatant, et ceints, sur la poitrine, de ceintures d’or. 7 L’un des quatre animaux donna aux sept anges sept coupes d’or, pleines de la colère du Dieu qui vit aux siècles des siècles. 8 Le temple fut rempli de fumée par la gloire de Dieu et par sa puissance ; et personne ne pouvait entrer dans le temple, jusqu’à ce que les sept fléaux des sept anges fussent accomplis.