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Cantique 6.10 Ancien Testament Samuel Cahen
1 Où est allé ton bien aimé, ô la plus belle des femmes ? Vers quel endroit s’est tourné ton bien aimé, pour que nous le cherchions avec toi ? 2 Mon bien aimé est descendu à son jardin, aux parterres aromatiques, pour paître dans les jardins, et pour cueillir des lis. 3 Je suis à mon bien aimé et mon bien aimé est à moi, lui qui paît parmi les lis. 4 Tu es belle, ô mon amie, comme Tirtsa, agréable comme Ierouschalaïme (Jérusalem), formidable comme les étendards. 5 Détourne tes yeux de moi, car ils m’ont rendu orgueilleux ; ta chevelure est comme un troupeau de chèvres qui campent sur les revers du Guilad. 6 Tes dents (sont) comme un troupeau de brebis qui montent du lavoir ; toutes en portant des jumeaux, et aucune d’entre elles n’est privée de petits. 7 Tes joues (sont) comme un fragment de grenade au travers de ton voile. 8 Les reines sont soixante, et quatre-vingts concubines et, les jeunes filles sans nombre. 9 Unique est ma colombe, ma parfaite ; elle est unique pour sa mère ; elle est la préférée de celle qui l’a enfantée ; les jeunes filles l’ont vue, et l’ont félicitée ; les reines et les concubines l’ont louée.10 Qui est celle qui apparaît comme l’aurore, qui est belle comme la lune, brillante comme le soleil, formidable comme les étendards ?11 Je suis descendu au jardin des noyers, pour regarder les fruits nouveaux de la vallée, pour voir si la vigne a poussé son fruit, si les grenadiers fleurissaient. 12 Je ne sais, mon âme m’a rendue (prompte) comme les chariots d’Ami Nadib.