Un clic sur un verset envoie vers le comparateur de versions.
Psaumes 9.14 Segond 21
Le jugement de Dieu sur les nations
1Au chef de chœur, sur la mélodie de « Meurs pour le fils ». Psaume de David. 2 Je te louerai, Éternel, de tout mon cœur, je raconterai toutes tes merveilles. 3 Je ferai de toi le sujet de ma joie et de mon allégresse, je chanterai ton nom, Dieu très-haut. 4 Mes ennemis reculent, ils trébuchent, ils disparaissent devant toi, 5 car tu soutiens mon droit et ma cause, tu sièges sur ton trône en juste juge. 6 Tu réprimandes les nations, tu détruis le méchant, tu effaces leur nom pour toujours et à perpétuité. 7 Plus d’ennemis ! Des ruines éternelles ! Tu as détruit des villes, et leur souvenir est perdu. 8 L’Éternel règne pour toujours, il a dressé son trône pour le jugement. 9 Il juge le monde avec justice, il juge les peuples avec droiture. 10 L’Éternel est une forteresse pour l’opprimé, une forteresse dans les moments de détresse. 11 Ceux qui connaissent ton nom se confient en toi, car tu n’abandonnes pas ceux qui te cherchent, Éternel ! 12 Chantez en l’honneur de l’Éternel, qui siège à Sion, proclamez ses hauts faits parmi les peuples, 13 car il venge le sang versé, il s’en souvient, il n’oublie pas le cri des malheureux ! 14 Fais-moi grâce, Éternel, vois la misère où me réduisent mes ennemis ! Retire-moi des portes de la mort, 15 afin que je raconte toutes tes louanges dans les portes de Sion et que je me réjouisse de ton salut ! 16 Les nations tombent dans la fosse qu’elles ont creusée, leur pied se prend dans le filet qu’elles ont caché. 17 L’Éternel se fait connaître, il fait droit, il prend le méchant à son propre piège. – Jeu d’instruments. Pause. 18 Que les méchants rejoignent le séjour des morts avec toutes les nations qui oublient Dieu, 19 car le pauvre n’est pas oublié définitivement, l’espérance des malheureux n’est pas perdue pour toujours ! 20 Lève-toi, Éternel, que l’homme ne triomphe pas, que les nations soient jugées devant toi ! 21 Frappe-les d’épouvante, Éternel, que les peuples sachent qu’ils ne sont que des hommes ! – Pause.